Date de création : 13.05.2015
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ImagesL'agrinature tend vers la pratique native d'agriculture n'utilisant que les ressources du vivant en son effort de néguentropie insufflée par l'injection constante dans l'écosystème Terre des photons que lui dispense maître Soleil, étoile moyenne de la galaxie.
La nourriture des plantes est pour l'essentiel un triptyque constitué par l'hydrogène de l'eau, le dioxyde de carbone de l'air & par voie indirecte l'azote de l'air. Utiliser toute l'eau & tout le soleil disponibles en un lieu tout au long de l'année est l'enjeu d'agrinature.
Cela signifie que le seul intrant en cette pratique agricole est d'énergie solaire. De ce fait nous prendrons soin à observer que les plantes présentes puissent faire emploi autant que faire se peut de ces deux ressources données à tous. - la lumière solaire & l'eau des précipitations.
Deux parts au moins de la production est destinée à la fabrication des sols & une part prélevée comme nourriture. Nous intervenons le moins qu'il est possible afin de laisser aux êtres vivants de l'écosystème champ toute latitude d'oeuvrer selon leur nature propre.
Pour que ces êtres puissent exister, nous devons proscrire l'usage des substances de synthèse que le vivant ne sait pas métaboliser. C'est la diversité qui assure l'ensemble des fonctions requises & ce par le moyen de la complémentarité biologique des êtres.
Les notions de pédogenèse sont l'essence de l'agrinature : la Terre doit redevenir terreuse, refabriquer ses sols. A l'échelle d'un siècle l'agronomie envisagera une combinaison des deux pratiques. Des paysans, paysannes, chercheurs & chercheuses affineront des méthodes applicables à plus grande échelle & éventuellement des machines simples & légères. Celles disponibles ce jour sont trop complexes, trop pesantes sur le sol & de ce fait trop voraces en énergie.
Des petites parcelles sont le cas idéal car les lisières & bordures sont des points de grande richesse biologique & parce qu'il est besoin d'arbres pour garder & fabriquer le sol. La production locale permet aussi le retour, le "recyclement" de la matière organique pour l’auto-fertilisation.
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c. visualisation / absorption - forme / fonction
visualiser / absorbtion / conditionné / revenu d'existence / se soumettre/forme/fonction / 3 plans / réacteur d'amour / aimé/utile / Souchon/voulzy /
visualisation / absorption - la forme / la fonction - être aimé, être utile - accepter, se soumettre, créer - Henri Cartier Bresson à Arunachala Tirunavannamala - samadhi / mukti - 150319
* "They say that I am going, but where can I go ? I am here."
Lorsqu'il avait onze ans, son père mourut, ce qui lui donna l'occasion d'observer la mort de près. Depuis sa naissance, il avait en lui-même le nom Anunachala, la montagne sacrée du Tamil Nadu dédiée au Seigneur Shiva, sans pourtant avoir aucune information au sujet de la signification de ce mot. A seize ans, il apprit un jour qu'Arunachala & Tirunavannamalai ne faisaient qu'un. Peu après il atteint de manière toute à fait spontanée & soudaine à la réalisation de notre réalité profonde, réelle & unique - le Soi débarrassé du sens du moi.
Peu après, à l'insu de ses proches, il prit la route pour Tirunavannamalai. Arrivé au saint lieu, il se retira en méditation au sous-sol d'un temple. Un homme bon le trouva & pour ainsi dire lui sauva la vie, l'empêchant de mourir d'inanition. A compter de ce temps, ils vécurent dans des petits ermitages autour de la montagne. Le nombre des visiteurs qui avaient vent de sa réputation augmentait d'année en année. Plus tard, un ashram fut construit pour accueillir les foules constantes de pèlerins.
Il lui arrivait de laisser parfois son corps comme mort quelques instants. A trente-deux ans, cela se produisit durant quinze minutes environ. Par la suite, il lui devint courant d'être engagé en les activités de la vie tout en demeurant en Sahaja Samadhi * – l'état de conscience le plus haut maintenu sans effort.
Devant la pression des foules de plus en plus nombreuses, trois fois il voulut s'échapper, reprendre sa vie de samnyasin * - renonçant. Mais la montagne était devenue une part de son être & il se conforma au désir des pélerins.
Il mourut d'un cancer du bras gauche. Ses dévots insistaient pour que des médecins ôtent la tumeur qui persistait à revenir. "Le corps lui-même est un maladie." disai-il. "Où puis-je aller ? Je suis ici." * Il quitta son corps en joie, en paix & entouré des siens en foule nombreuse.
A l'instant où il quittait la terre le 14 avril 1950 à 8 h 47, il devint une étoile. Henri Cartier Bresson alors présent à Tiruvanamalaï photographia cette lumière au dessus du mont Arunachala *.
Il professait surtout la quête du Soi consitant à poser la question "Qui suis-Je ?" au cœur spirituel situé du côté droit de la poitrine. A son contact, des arbres – un manguier par exemple - cessèrent de porter du fruit & des animaux atteignirent – un singe, une vache - à la réalisation la plus haute.
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« The state in which the unbroken experience of existence-consciousness is attained by the still mind, alone is samadhi. That still mind which is adorned with the attainment of the limitless supreme Self, alone is the reality of God.
When the mind is in communion with the Self in darkness, it is called nidra – sleep - that is, the immersion of the mind in ignorance. Immersion in a conscious or wakeful state is called samadhi. Samadhi is continuous inherence in the Self in a waking state. Nidra or sleep is also inherence in the Self but in an unconscious state. In sahaja samadhi the communion is con-tinuous."
The immersion of the mind in the Self, but without its destruction, is kevala nirvikalpa samadhi. In this state one is not free from vasanas & so one does not therefore attain mukti * - realisation. Only after the vasanas * have been destroyed can one attain liberation. » - * Vasanas are subtle impressions the individual soul will carry when the soul separates itself from the physical body upon the death of a person.
Holding on to the supreme state is samadhi. When it is with effort due to mental disturbances, it is savikalpa. When these disturbances are absent, it is nirvikalpa. Remaining permanently in the primal state without effort is sahaja. »
* Vasana - desire in subtle form - is a wave in the mind-lake. Its seat is the Karana Sarira - the causal body. It exists there in the form of a seed & manifests in the mind-lake. Karana sarira is the cause or seed of the subtle body & the gross body.
* moksha, also called mukti, in Indian philosophy & religion, liberation from the cycle of death & rebirth - samsara - from the Sanskrit word muc - to free - moksa literally means freedom from samsara, liberation or release in hindu, buddhist & Jain traditions. About the middle of the first millennium before Christ, new religious movements spreading along the Ganga river valley in India promoted the view that human life is a state of bondage to a recurring process of rebirth.
* The Maharshi called Arunachala the spiritual Heart of the world. Aruna means ‘red, bright like fire’. It is not mere fire that gives off heat. Rather, it is Jnanagni, the fire of wisdom, which is neither hot nor cold. Achala signifies hill . Thus, Arunachala means ‘hill of wisdom’.
le mental absorbé dans le Soi - 150129
Si nous nous chamaillons ou nous combattons, ce n'est pas à cause de nos différences, mais bien au contraire par nos ressemblances. Il n'est de luttes que fratricides. Méditer est une démarche si différente de penser. Au bout de douze secondes d'attention - sans pensée - nous entrons en concentration (1). Au bout de deux minutes 24 secondes de concentration, nous entrons en contemplation (2). Au bout de vingt-huit minutes & quarante-huit secondes de contemplation, nous entrons en méditation (3)(4). Demeurer en cet état trop longtemps nous fera quitter ce monde (6)... Ces données montrent que le terme méditation est galvaudé. La méditation véritable est une absorption (5), un haut & rare statut. L'intérêt de ces pratiques est que dans ces états altérés de conscience, des flash - insight - de connaissance directe nous sont confiés. En ce qui me concerne, je n'explore pour l'heure que la contemplation. Il dut m'arriver il y a fort longtemps en des contrées de tropique de fréquenter un peu le troisième état - sans prendre de drogue toutefois. Parler de jardin en général me fait mal, car je ne peux m'empêcher de penser à la violence envers la terre & les plantes, des jardiniers & paysans en général. En ouvrant la terre, nous la violons. Pour éviter cela, il suffirait à l'instar des chamanes ou des amérindiens - qui demandent permission par avance au gibier à chasser ou à l'arbre à couper - de lui demander son point de vue, lui parler, la considérer comme le réservoir d'abondances & de sagesses qu'elle est. C'est là la différence entre le viol & l'amour. Une telle distinction est de consentement.
Demeurer en l'état le plus haut de conscience; d'une expérience continue de la conscience de l'existence en un mental silencieux, est absorption - samadhi (5). Lorsque cet état est obtenu par effort, l'absorption est avec pensées - savikalpa (1). Lorsque la perturbations des pensées est absente, l'absorption est continue – nirvikalpa (2). Lorsque le mental est immergé en le Soi, l'absorption est pure - kevala (3). Demeurer ainsi en permanence sans effort est l'état naturel – sahaja (4). Cependant, c'est la dissolution des impressions mentales – vasanas – qui nous en libère – moksha, mukti (6). La pratique de la méditation n'a pas d'effet sur cet aspect crucial de la vie & de la mort. Elle n'est qu'un entrainement, une préparation en vue des vrais évênements, la rencontre des personnes & du destin. Les impressions se dissolvent à l'occasion de ces rencontres, lorsque nous ne réagissons plus.
le déconditionnement en accomplissement - 150215
En suite des meurtres à Paris le sept janvier, les luttes entre forces de pouvoir qui s'ensuivirent, entre les divers dogmes affirmés chacun comme vérité première, nous ressentons le besoin de nous ressourcer aux maîtres de l'Inde au vingtième siècle.
Ramana Maharshi fut parmi les dernier à parler. Il y a toujours sur terre nombre de grands personnages - en Inde ou ailleurs - mais la plupart ne se dévoilent pas au public, œuvrent en silence, incognito. Ces personnes agissent comme les phares du passé, transmettant la lumière pour que les esquifs & navires ne s'égarent pas dans la brume ni ne se fracassent sur les récifs de la côte. Leur condition n'est connue que de ceux capables de la percevoir. Il est d'intérêt de lire les réponses du maharishi, lorsqu'il précise que l'absorption (8) du mental dans le Soi, aboutissement des processus de méditation, n'a pas de lien direct avec le phénomène de la sanctification ou béatification (9).
Seule la dissolution des impressions (1) sur la matière sensible de la partie spirituelle de l'âme (7) résultant en l'accomplissement de la destinée (4) (5) peut la permettre. Il nous est proposé plusieurs voies pour cela. D'une part accomplir de bonnes actions (2) de service dont on n'espère pas de récompense sous quelque forme que ce soit (3). Ensuite cesser nos habitudes néfastes héritées du passé (5). Enfin & surtout, s'abstenir d'imprimer de nouveaux mots (6) écrits sur le palimpseste qu'est l'esprit ou âme (7).
Lorsqu'une situation ancienne se présente à nouveau, si nous ne réagissons plus, ni en pensée, ni en émotion, ni en actes, alors l'impression qui autrefois provoquait la réaction, se dissout, s'échappe, est effacée de l'ardoise de nos dettes terrestres. La méditation est un entraînement en préparation aux épreuves, aux tests que la vie nous présentera pour que ces impressions (3) puissent se dissoudre éventuellement. Cela revient à devenir un sage, ce qui est toujours l'aboutissement de toute voie spirituelle.
Pour les débutants en revanche - & nous en sommes tous - il existe cinq formes pour s'exercer, cinq voies en lesquelles se mettre en marche : l'action juste ou le service à la société - le silence mental ou les pratiques de méditation - s'inspirer de la vie des personnes remarquables ou lire les écritures - la gratitude, le chant, la louange ou la dévotion - & la dynamique des pensées ou prière.
(1) vasanas - (2) karmayoga ou voie de l'action - (3) nishkamakarma ou action sans désir envers les fruits de l'acte - (4) extinction des karma (action) samchitta (accumulé) - (5) & prarabdha (commencé) - (6) karma agami (suivant) -(7) corps causal – (8) samadhi - (9) la libération du cycle des naissances s'entend ou union (yoga) à Dieu.
distinguer trier juger couper trancher décider - 150131
Le revenu d'existence est une solution envisagée par les économistes sociologues. Comme toute mesure, elle pourrait avoir des effets délétères. Les USA accèdent au plein emploi par la croissance & la destruction de leur territoire. La Chine l'obtient en vidant ses campagnes vers les chantiers & usines de mégapoles aux banlieues sans fin. Dans les pays de tropiques où on ne meurt pas de froid, on se débrouille en travaillant sans couverture sociale, comme c'était le cas en Europe jusqu'au milieu du siècle passé. La croissance y est forte aussi. Il existe des pays opulents sans chômage, ni accepter de dégrader leur environnement ou leur tissu social. Ce sont des contrées de petite taille & de gestion rationnelle. La société française ne souhaite pas entrer dans cette voie. En France il est des groupes & des personnes qui innovent, inventent de nouveaux modes d'exister. Il y a aussi un grand conservatisme d'attachement au passé. C'est un pays dont le facteur le plus remarquable est que chacun des citoyens y est porteur en une proportion & une forme particulière de ces deux tendances qui s'opposent, la conciliation entre inventer & continuer, rêver & exister. Cet outil de mesure qu'est la croissance est faux, nous le savons. En adopter un meilleur est difficile pour deux raisons qui semblent parfois s'opposer. D'une part, c'est la croissance qui créée un peu d'inflation, cette carotte devant le nez de l'âne entrepreneur, de l'acheteur-revendeur de parts à la bourse, du spéculateur immobilier. D'autre part, l'impôt qui génère le salaire des politiciens en est un pourcentage. Ils ne prennent pas tout pour eux-mêmes comme il se doit, mais manipuler de fortes sommes à redistribuer à des personnes choisies selon le système des clients inventé par la république à Rome, leur confère d'autant d'importance. Félix Leclerc cita le danger qu'il y a à payer une personne à ne rien faire, mais désormais, plus personne ne fait rien : nous vendons surtout du vent - un 4X4 pour rouler sur le bitume, un peu de graisse déguisée en produits cosmétiques, une maison qui a la forme & le concept technologique d'un château médiéval, des idées, des slogans, de la sécurité, des formations, des programmes, des loisirs, du rêve... Un gouvernement pourrait avoir pour programme d'abolir une loi par jour avec pour effet de diviser par deux en quelques années le nombre de bureaucrates - les fonctionnaires, les comptables, les techniciens de l'inutile. Cela nous conduirait à réinventer une société plus simple, revenue à la taille humaine. Paul Lafargue préconisait de partager le travail. Personne n'acceptera de réduire son revenu par choix sauf en cas d'une douleur extrême qui l'y inviterait.
"Il paraît que c'est la crise. Les riches sont plus riches & les pauvres sont plus pauvres. Je vois pas en quoi c'est une crise : depuis que je suis né, c'est comme ça!" disait Michel Gérard Joseph Colucci en 1983, soit dix ans après le début officiel de la crise concernant les ressources mondiales, l'infléchissement de croissance en Europe qui advint en conséquence d'une réévaluation du prix du pétrole brut par les principaux producteurs.
Etymologie français latin grec Sanskrit : "crise" : décider, faire un choix, du latin "crisis", un assaut, "cribrum", "cerno", "cernere", passer au crible, du grec "krisis", crible, tamis, l'action ou la faculté de distinguer, "krinau","krinein", séparer, trier, "kriter", juge, de la racine indo-européenne "krei", juger, passer au tamis, cribler, de l'indo européen "ker", couper. Pour Sénèque "crisis" est un assaut de la nature. Critique, certitude, discernement, critère, crible, discrimination, certification, proviennent de cette racine.
En anglais : " heart attack" : crise cardiaque - "depression" "crash" : crise économique - "midlife crisis" "disruption in self-esteem" "period of dramatic self-doubt" : crise de la cinquantaine, période d'interrogation profonde.
En usage moderne : période de tension ou changement rapide, remise en cause, temps difficile, situation tendue, perturbation, angoisse, attaque, poussée de..., récession.
La crise est un moment décisif, un temps de discernement en décision. Cette capacité de l'intellect – au sens du mental supérieur, des fonctions sises au-delà de la pensée ordinaire - est la vertu cardinale d'un être humain.
commentaire de leylaloukoum le 31/01/2015 : Bonsoir. Suite à ton commentaire récent, les versets sont dans les images que j'ai ajoutées à l'article. Il y a cinq articles; dans un d'entre-eux la sourate est au bas de l'article. Voilà mon ami; à bientôt. http://leylaloukoum.centerblog.net
Pour nous, Jésus (paix de DIEU sur lui) est un prophète exceptionnel de par sa naissance. Pour les musulmans, Dieu (ALLAH) est notre seigneur l'unique Dieu & Mohammed (saw) est son prophète. Jésus (Paix de Dieu sur lui) a annoncé dans la bible qu'un autre prophète viendra après lui. Je t'invite à aller voir ce site qui est très bien : http://www.islam-guide.com/fr/ch1-3.htm Bonne soirée; si tu as d'autres questions, n'hésite pas mon ami.
la nuit en une région inhospitalière - creative visualisation- creative visualising - 150318
Nous voyagions à bicyclette au long cours. Il faut à cette fin s'équiper d'un bagage léger, ne gardant qu'un seul vêtement de chaque type & ne transporter que le minimum requis de nourriture pour la seule journée. Il est important aussi de ne pas utiliser de sacoches latérales qui donnent trop prise au vent. Une sacoche de guidon & le duvet sur le porte-bagage arrière résoudront la question. Si on prévoit de rouler en hiver sur route mouillée, on peut envelopper son pied dans un sac de plastique. En hiver, le pied mouillé devient vite un glaçon en sensation à cause de l'évaporation que cause le mouvement s'il n'est pas confiné en protection du vent. Equipés ainsi il nous sera possible de trouver à dormir très simplement auprès de la route.
Il est important de reconnaître à cette fin le lieu qui sied & offira l'abri suffisant. Il doit être un peu à l'écart des habitations pourtant, afin de ne pas alerter la police. Même en été, dormir en un champ ouvert nous couvrirait de rosée, grelottant au petit matin. L'abri le plus rudimentaire est un arbre courbé sur un coteau de relief escarpé. Le plus souvent il suffit. Il suffira même en hiver si votre duvet est assez épais pour la saison froide & s'il ne pleut pas des cordes. En cas de pluie modérée, un film de plastique ou une couverture de survie permettent d'attendre l'aube où on repartira.
Lorsque sur la route nous apercevons le point du pays qui convient, il ne faut pas le dépasser si l'heure approche la fin de la journée, car alors nous risquerions de nous laisser surprendre par la nuit en une région inhospitalière.
La méthode de visualisation créative fonctionnera à cet effet :
"L'endroit où nous allons nous reposer ce soir fut créé & aménagé depuis des siècles à cet effet, pour préparer cet événement remarquable de la vie. Lorsque nous y parviendrons, il nous suffira de le reconnaître."
accepter, se soumettre, créer - la forme / la fonction -se soumettre, visualiser - discipline austérité acceptance visualiser créer
La visualisation de création n'est possible que si tous nos centres d'énergie sont synchrones & ouverts. C'est un état d'abandon ou vulnérabilité totale qui par force nous communique le plus haut niveau d'énergie spirituelle. Pour l'atteindre, nous devons aimer sans restriction ni en temps ni en lieu ni de personne. La confiance en cette destinée permet ce plus haut niveau de vibration qui en retour établit la confiance en la vie. En un point si élevé ou subtil, toute pensée devient créatrice. Cela signifie que l'inquiétude, le souci, la critique, les comparaisons, les projections, les regrets ou même les conjectures ou la mémoire ne peuvent toucher ce plus haut niveau de l'existence. Si cela était, alors nous créerions des désastres.
Il est des désastres générés par des personnes malfaisantes qui en leur inconscient, en leur inconscience espèrent secrètement prospérer de leur advenue ou par l'agglomération des formes pensées des individus qui reniant leur nature humaine la plus intérieure ou universelle se laissent influencer par les prophètes de malheur ou la propagande égotiste. Mais ne nous égarons pas à décrire ces basses sphères ou zones limbaires.*
Pour devenir créatifs vraiment, créateurs de ce monde, nous devons être aimés. Alors seulement nous sommes utiles en inventant vraiment la réalité. Elle n'est que courage, tendresse généreuse & beauté ou joie. Cette réalité était en attente d'être révêlée, attestée, inventée, manifestée, réalisée en existence, attendait qu'une personne en donne l'impulsion. Dans la nature, la forme est tout en ce que les molécules s'agencent en voie d'accomplir les fonction vitales & les lois de la physique & de la mécanique quantique.
Lorsque nous atteignons le niveau humain de création qui confine à Dieu, la forme s'efface devant la fonction : en l'univers pervers polymorphe, l'amour définit la forme de la beauté qui se dégage, se libère des formalismes & des canons. Tout sans restriction peut lors se conformer à cette non-conformité pour peu que la fonction réalisée soit orientée à l'expansion de vie.
"Beauty lies in the eye of the beholder, the onlooker." dit la sagesse anglaise. L'étranger, l'étrangère à aimer interpréteront la phrase en ce que "La beauté ment, nous retranche en une illusion nouvelle." En revanche, aux adeptes adaptés au réel amour, "Tout n'est qu'ordre & beauté, lumière, calme & volonté." Ceux-ci acceptent de se soumettre à l'étant & partant en deviennent dans la mesure où leur mental de volition ne fluctue pas, d'autant aptes à créer ce qui leur advient, les côtoie & les touche.
* les limbes, du latin limbus, marge, frange : zone intermédiaire...
la concordance des temps en trois plans - 150131
une odeur de sainteté à portée - a reactor of love - 150201
The world is reflection, resound & rebound. The ability to reflect is the present we can offer to others for it is a rare gift. En français, ça claque moins. Le monde se tisse de sons réverbérés, de lumières diffractées & réfléchies. Notre effort à réfléchir & renvoyer la beauté que nous voyons est le plus beau présent que nous pouvons offrir. C'est un don rare. Plus rare encore - le faire sans effort...
brigitisis le 31/01/2015 :
Bonjour, merci de ce petit commentaire sur l'estime de soi... Le problème c'est qu'il arrive de vivre des périodes, voire des années avec des proches qui nous la font perdre même si pourtant on fait de son mieux pour tout : le travail, la maison, que l'on donne, donne... quelques mois difficiles à passer; puis essayer de se reconstruire en retrouvant cette estime en soi...
On aime son enfant, on aime son chien, on aime le chocolat, on aime contempler la nature... mais le cœur met derrière le mot aimer le reflet de l'âme & des ressentis. Ce n'est pas important que ce soit le même verbe...
marssfarm le 31/01/2015 :
Le français n'a qu'un verbe pour aimer par goût & aimer d'amour. On peut le croire une pauvreté de langage, mais la simplicité - même en matière de langue - peut être richesse à qui sait en faire usage sans interroger ni se poser de questions... Si notre "J'aime ..." s'opposait à un "Je n'aime pas..." alors il dénoterait une scission de l'âme. Cette rupture peut ruiner notre vitalité entendue au sens global du groupe, de la collectivité. Elle serait une fêlure à la coupe réceptacle de l'énergie qu'est un cœur ouvert vers le haut, une craquelure par laquelle une part de la grâce possiblement reçue s'échappera. Aimer par goût nous conduit à prendre. Aimer par amour nous guide à donner. Il y a donc opposition. Mais le cœur devenu simple à force de s'oublier ne connaît plus ces contradictions.
inconnu le 31/01/2015 :
Juste se désintéresser à force de déceptions. Ni haine, ni amour. Pas de scission, mais le même résultat.
marssfarm le 01/02/2015 :
Ce que tu décris ici est l'ataraxie. Au sage elle est sagesse. Au fol elle est dépression. Aux religieux, aux croyants, aux bouddhistes, aux mystiques, elle est l'occasion de Metta Bhavana, la Wi-Fi des transformations. Toute la société moderne tournée vers la productivité en masse des gadgets destinés à la poubelle du recyclage sans raison ni fin, nous dicte de nous en détourner, de la craindre, de la fuir, de la combattre, car la personne qui en est atteinte perd ou diminue sa capacité à alimenter la machine technologique qui nous dévore. Toutes les institutions du matérialisme nous en détournent, elle, aboutissement, acmé d'une vie de bipède.
un réacteur d'amour
* système nerveux entérique : deux plexus ganglionnaires sur toute la longueur du tube digestif / myentérique, entre les muscles longitudinaux & circulaires / submuqueux, entre ces derniers & la muqueuse intestinale.
* centre cardio-accélérateur / noradrénaline - système nerveux (ortho)sympathique moelle épinière chaînes paravertébrales de ganglions rachidiens sympathiques thoraciques & lombaires.
* centre cardio-modérateur / acétylcholine - système nerveux parasympathique moelle sacrée & tronc cérébral bulbe rachidien / périphérie de l'organe cible / fibres nerveuses motrices / nerfs pneumogastrique – vague - & cardiaque / nœud sinusal & ventricules - fibres nerveuses sensitives de Hering & Cyon-Ludwig & cardiosensible / sinus & oreillette droite - paroi supérieure oreillette droite - atrium droit - nœud sino-auriculaire ou sinusal de Keith & Flack - nodus sinuatrialis - cellules dont la dépolarisation commande le rythme sinusal.
* pinéale = épiphyse = sommet du crâne / pituitaire = hypophyse = base du cerveau supérieur / nerf pneumogastrique = plexus solaire, entre poumons & estomac / gonades = les glandes de la procréation.
le foyer, le métier, la maison - être aimé, être utile - la famille, le job, l'habitat - 150318
D'abord, on perd son couple, puis son job & enfin son logement. Rentrant du travail tard dans la nuit à Londres, je vis une femme assise sur un banc, sans chaussettes dans ses chaussures tandis qu'il gelait. Au prétexte de la surprise, je ne me suis pas arrêté. Le froid est le plus terrible. Vingt ans auparavant, une nuit où je roulais à bicyclette contre un Mistral d'hiver, ensommeillé je voulus trouver abri en une borie* sur le coteau de la vallée. Mais un bâtiment qui n'est pas de bois & n'a pas de source de chauffage, c'est comme dormir dehors. Je ne m'assoupis qu'un très court instant & dus repartir, debout sur les pédales dans le vent – j'étais alors un cycliste peu rompu à ces grands voyages par tous les temps.
Les japonais qui ont baissé les bras & vivent dans la rue, dorment en hiver plutôt le jour dans les parcs, réchauffés par le soleil. Il m'arriva en plusieurs occurrences de la vie de dormir dans la rue, mais grâce au ciel jamais en saison hivernale.
Le gars de l'appartement voisin vit fenêtres grandes ouvertes tout le temps tout l'an. Cela est inquiétant, car il semble inéluctable que le froid se communique aux murs de granite de la maison toute entière & de ce fait doive réfrigérer les appartements contigüs. Il a pourtant une voiture récente & semble normal & dynamique à part ça. Chez lui, il porte manteau & bonnet. Il vit seul, forcément.
Lorsqu'on est pauvre, on perd ses amis & ses relations. Lorsqu'on est seul, on se trouve en la situation de fragilité qui rend possible la pauvreté. Le chômeur a honte de lui-même & se retranche peu à peu, s'isole. C'est cet isolement qui est sa pauvreté la plus criante. C'est elle qui le rend pauvre, fragilise sa position.
Après trois mois sans travail, à qui n'a pas de diplôme pour justifier une supposée capacité – un formatage mental particulier, une capacité de raisonnement orientée, de soumission, ou au contraire d'autonomie selon le poste envisagé - il devient très difficile de recommencer en un emploi. Nous devenons suspects aux employeurs potentiels. Nous commençons de douter de notre capacité à œuvrer à l'utilitaire du monde qui peu à peu nous quitte. La tenue vestimentaire commence à se dégrader. Les amis nous quittent car nous cessons de briller, de pouvoir les inviter ou les suivre dans leurs sorties. Parfois, nous les quittons de notre initiative au souci de ne pas les importuner.
Pourquoi les politiciens de nombreux pays souhaitent-ils, veulent-ils une société ainsi scindée entre riches & pauvres, entre des professionnels de très haut niveau & des gens mis au rebut ?
Je crois que nous votons selon l'égoïsme & donc élisons ainsi l'idée dominante d'une classe qui travaillerait, paierait des impôts & de ce point de vue supérieur se trouverait apte à juger sans noblesse ceux qui pour - chacun - une raison particulière - pourtant – ne surent en leur parcours de vie pas les suivre sans commettre une seule erreur. Chacun vote pour ce qu'il juge être son intérêt propre. Motivés par la compétition, nous nous croyons des surhommes - jusqu'à le chute...
C'est là une faute contre la vie. Car la vie est plus coopération que luttes.
L'effort des plantes leur est naturel - Avez-vous déjà observé
les racines d'un orne en train de digérer les fondations d'un bâtiment ou celles d'un châtaignier soulever un mur ? -
Réunir le feu & l'eau procède de leur nature.
Le cœur aussi tel qu'il est conçu en les cultures anciennes, concilie l'eau & le feu, les forces ascendante & descendante, le masculin & le féminin, l'action & la réceptivité, la conscience & l'amour, la nuit & le jour, le désir & la générosité, l'un & la complétude. La tête discerne lorsqu'elle nous laisse guider par l'effort d'élévation. Elle divise, lorsque qu'elle nous laisse couler vers le plus facile. Ce point dans la poitrine est enfin d'équilibre entre volonté & abandon.
Lorsque nous ne raisonnons plus, il nous est plus facile de nommer trois qualité chez tout autre, qu'une seule en nous, ou à l'inverse trois défauts en nous-mêmes qu'un seul en la personne en face. C'est là notre état naturel. Tout raisonnement risquerait de nous en éloigner, nous présentant à son habitude les gains ou les pertes envisagés, oubliant que nul ne sait l'avenir & que de ce fait la perte de ce jour peut être gain le lendemain.
Nous soumettre à ce qui est,
puis entreprendre le job,
joie & peine mêlées.
* borie , domaine agricole - Dordogne, Lot, Aveyron, Tarn, Tarn-&-Garonne – ou cabane en pierre sèche - Bouches-du-Rhône, Vaucluse, de bòria , langue des pays d'oc à l'ouest du Rhône. La forme masculine, bòri, propre à la Provence, tomba en désuétude très tôt. Ne doit pas être confondu avec boli / bori, le sédiment que forment l'huile & les liquides (Aubert, Dictionnaire des dialectes de Valensoles & des Mées, manuscrit, cité par S.-J. Honnorat, Dictionnaire provençal-français, 1846) / le bol d'Arménie, substance d'un brun rouge (Honnorat, op. Cit.) / de la craie tendre pour tracer des lignes / un crayon de cire colorée pour marquer temporairement le bétail. Dictionnaire occitan-français de Louis Alibert « ferme, domaine agricole » synonyme de bòrda, granja, mas, capmàs. Boriassa est une grosse ferme & borieta une petite ferme. L'ethnologue Maurice Robert donne à borio le sens de « domaine important isolé », & « maison » en basse Auvergne.
A Borie is a dry-stone structure, generally a one-room cabin. The smallest can be a single, low room where a shepherd could weather out a storm or a cold night. More typically, the single room borie is big enough to stand upright in, with space for a fire & often a shelf or two built into the thick stone walls. Larger bories can have multiple rooms, as in Gordes in the Vaucluse. The name borie is used for the dry-stone huts in the Provence region of southeast France. In the Languedoc region of southern France, these same stone structures are called capitelles. Dry-stone huts, whatever they are called, can be found all over the world. There are bories in Beaujolais; Corsica, Crete, Death Valley in California, Italy, Mexico, Peru, the Sinai desert, Switzerland, Turkey & what used to be Yugoslovia. In Malta they are called "giren". - edited from Wikipedia
coopération de l'agnostique & du croyant - 150217 - texte A.Souchon, L.Voulzy - traduction jpb & ra
ô prenez garde à ceux qui n'ont rien / chante chante un petit oiseau malin / qui monte au ciel, qui plane & qui pique / au-dessus des royaumes & des républiques / l'oiseau malin regarde & voit / les monarques & leurs secrets / qui lancent dans les palais d'état / les ordonnances & les décrets
masters and servants / de leurs salons protégés / n'entendent pas l'oiseau qui chante / n'entendent pas l'oiseau chanter / pressentant comme un danger
ô prenez garde à ceux qui n'ont rien / qu'on a laissé au bord du chemin / rêveurs rêvant le monde meilleur / ils voient la colère monter dans leurs cœurs / ô prenez garde à ceux qui n'ont rien / chante chante un petit oiseau malin qui monte au ciel, qui plane & qui pique / au-dessus des royaumes & des républiques / l'oiseau malin regarde & voit / les financiers dans leurs mystères / qui jouent sur les écrans plasma, lon la / l'argent que tant de gens espèrent
masters and servants / de leurs bureaux protégés / n'entendent pas l'oiseau qui chante / n'entendent pas l'oiseau chanter / pressentant comme un danger
ô prenez garde à ceux qui n'ont rien /qu'on a laissé au bord du chemin / rêveurs rêvant le monde meilleur / ils voient la colère monter dans leurs cœurs / ô prenez garde à ceux qui n'ont rien / chante chante un petit oiseau malin / qui monte au ciel, qui plane & qui pique / au-dessus des royaumes & des républiques
le monde de demain / il est dans leurs mains / les mains de ceux qui n'ont rien / dans leurs mains
ô prenez garde à ceux qui n'ont rien / qu'on a laissé au bord du chemin / rêveurs rêvant le monde meilleur / ils voient la colère monter dans leurs cœurs / ô prenez garde à ceux qui n'ont rien / chante chante un petit oiseau malin / qui monte au ciel, qui plane & qui pique / au-dessus des royaumes & des républiques
prenez garde / prenez garde / prenez garde
O beware of those who have nothing / a tiny crafty bird sings sings / soars to the sky, glides & dives / above kingdoms & republics / the crafty bird watches & sees / monarchs & their secrets / throwing in the state palace / prescriptions & decrees
les maîtres et les valets / protected in their dwellings / do not hear the bird who sings / do not hear the bird singing / foretelling a danger
O beware of those who have nothing / left by the side of the road / dreamers dreaming a better world / see anger rising in their hearts / O beware of those who have nothing / a tiny crafty bird sings sings / soars in the sky, glides & dives / above kingdoms & republics / the crafty bird watches & sees / stock brokers in their mysteries / playing on plasma screens, lie lie / the money so many hope for
les maîtres et les valets / protected in their offices / do not hear the bird who sings / do not hear the bird singing / foretelling a danger
tomorrow's world / it is in their hands / the hands of those who have nothing / in their hands
so beware / so beware / so beware
Les deux amis Souchon, Voulzy, l'immigré & l'insulaire, le républicain & le royaliste, la rose & le réséda - par leur union, la racine du meilleur surgit sa pousse du sol froid. La clameur de souffrance des peuples s'élève jusqu'aux cieux. Elle ne reste pas inouïe. La Rose & le Réséda. "Celui qui croyait au ciel / celui qui n'y croyait pas / tous deux adoraient la belle / prisonnière des soldats..." - poème de Louis Aragon, appel à l'unité dans la résistance par-delà les clivages politiques & religieux.