• 9. pression aspiration didp approfondissement structuration gonflement tsp optimum de photosynthèse

Construire une terrasse soli-pluviale par drainage d'irrigation de pédogenèse consiste à créer une rigole & à déposer la matière ainsi extraite en cordon au bas de la future terrasse.  La pression exercée par cette matière stockée combinée à l'aspiration que le creusement induit ont un effet de drainage de surface.  La conséquence de cet effet est d'induire les racines des plantes présentes à approfondir leur prospection du sol.  A leur suite tous les êtres de la vie biologique du sol suivent ce mouvement de descente.  Leurs forces combinées de pédogenèse structurent le sol, lui incorporent du carbone de l'oxygène & de l'azote & le font gonfler en proportion & conséquence.   Ainsi dans un délai d'un an, le niveau du centre de la parcelle s'élève jusqu'à rejoindre celui du cordon initial que nous avions déposé sur la limite basse de la future terrasse.

• Si des arbres sont plantés ou semés à cette limite & des couverts EVA & ARE semés sur la parcelle, le processus en est d'autant accéléré.  La photo ici visible révèle le cas extrême d'un sol qui était d'une hydromorphie totale (présence de gley dès la surface) il y a dix ans.  Une fois la terrasse constituée le phénomène se poursuit & parfois s'accélère car d'une part l'érosion est tout à fait stoppée par la présence du bourrelet & les couverts & d'autre part la pédogenèse se trouve grandement stimulée du fait que toute l'eau & toute la lumière disponibles sont désormais utilisées en optimum par les plantes présentes en couvert permanent.

• 8. l'invention du bocage

A cette limite du bois se trouve un mur de pierres.  Selon depuis quel point on l'observe, la limite peut sembler à contre-pente (vers la gauche).  Elle est en fait quasiment horizontale avec un pente infime vers la droite.

La ronce présente au premier plan borde les berges du ruisseau de la fontaine nord du Mas que nous avons récréé.  Au tournant du siècle (2003) son eau se perdait dans le sol, rendant ce dernier impropre à tout usage.  Aux temps glorieux du bocage il y a de cela plus de mille ans, l'eau du ruisseau avait été détournée pour couler au dessus du mur de pierres (en bordure du bois).  Le bois était en ces temps une parcelle agricole également.

N'étant pas propriétaires du bois, nous ne pouvons pas redonner au ru cette position qui permet deux avantages - le premier étant de libérer & unifier la parcelle agricole & le second une capacité d'irrigation par gravité aux dates où le besoin en apparaît.  Redonner sa position naturelle au ru n'est pas sans intérêt non plus, mais cela divise nécéssairement les parcelles.

• La reconstruction de la fertilité par didp ici sera longue.  La parcelle que montre la photo mettra longtemps à s'établir en terrasse & entre-temps sa capacité productive est faible.  Cela est en partie dû à l'ombrage des arbres en position sud.  Nous voyons sur le cliché que ces arbres centenaires commencèrent à s'effacer, ralentissant leur croissance.  Une partie d'entre-eux sont déjà secs sur pied.

• 1. confolens in le Mas - Hermès - (Le lieu-dit ici est en fait la brande de Tirrelangue.)
  

Curage en octobre 15 du ruisseau confluent des rus des fontaines du Mas.  Le creusement de deux mètres fut obtenu par une journée ou deux de travail par an à la pelle chaque année pendant dix ans environ.  Le ruisseau ici joue le rôle d'un bassin de rétention.

• Il coule à partir des pluies de novembre - l'hiver selon le Tao - lorsque les rouvres abandonnent leur feuillage festonné.  Le lit curé, creusé se comble alors par les matériaux emportés du bois & des terres situés en amont - qui n'est pas terrain de la ferme.
• De ce fait il est besoin de le curer en saison sèche, soit de août à octobre inclus.  Au temps de la reverdure des Quercus - mai ou l'été selon le Tao -
• le flux commence de ralentir jusqu'à août - automne selon le Tao - quand les chênes réclament beaucoup d'eau pour leur glandée & visser, enfoncer leur pivot racine dans la roche, la transformant par leur grand pouvoir digestif en argile.

Il s'agit ici d'un drainage d'irrigation de pédogenèse en son potentiel maximum.  La matière extraite assoit la base de la terrasse soli-pluviale que redeviendra le bas de la parcelle agricole.

• ignorance volontaire collective - En 2003 le ruisseau avait complètement disparu, bouché par notre ignorance des lois de la terre & de l'eau, des plantes & des pluies.  Cette ignorance est-elle celle d'un fol qui dormirait sur un matelas d'or & irait mendier dans la rue (5), du voleur qui feint d'avoir pris par accident ce qu'il convoitait (4), l'enfermement d'un adolescent qui ne regarde que ce qui l'intéresse en un but particulier (3), la posture de l'enfant qui possède en lui tout le savoir d'un million d'années ses ancêtres mais doit pour les besoins d'une chance nouvelle prétendre n'être juste qu'un enfant (2) ou celle du vieillard qui espère que les conséquences de ses méfaits ne surgiront qu'après la mort (1)?  Du fait du reniement ou de l'oubli des lois hydriques toute cette partie basse appelée à devenir une terrasse au sol très profond (plus de deux mètres) était devenue une sorte d'étang de profondeur nulle, une zone de sables mouvants où seul Hermès aux pieds ailés pouvait encore s'aventurer.

• 2. au bas de la brande de Tirelangue - Le confluent des ruisseaux du Mas au bas de la brande de Tirelangue.  Les limons du curage d'août (didp) sont déposés en talus sur le bord de la parcelle haute.  Par la suite, le niveau du sol de la parcelle s'élèvera comme pour rejoindre ces dépots de bordure & constituer la tsp.

• 3. fontaine (tsp didp)- Nous curons ici les deux rus temporaires de la fontaine sud du Mas (à ce jour détruite) recreusant la mare comme bassin de rétention des matières que les rus en re-suscitement emportent en creusant leurs lits nouveaux dans le bois situé plus à gauche (hors cadre).

Le dénivelé entre le fond de la mare & son bord sera à terme de deux mètres au moins.  Jusqu'à la ligne d'arbres en haut il y a aussi plusieurs mètres de dénivelé.  Cette mare exista en des temps anciens.  Quand mourut-elle?  Nous ne pouvons que le deviner.  Nous trouvons dans le sol quelques pierres profondes qui sont le signe d'un cours d'eau & quelques grosses pierres qui indiquent l'existence antérieure d'un muret peut-être.  La parcelle s'établira en terrasse soli-pluviale.

• Nous devinons au premier plan le confluent des rus en Y (venant de la gauche) enjambé par deux passerelles en tronc d'arbre & à droite la mare nouvelle.  Des boutures d'un saule de verre furent plantées.  Le chevreuil s'attache à les frotter s'il sent l'odeur de la main humaine sur eux.  Les toucher une fraction une fraction de seconde suffit à transmettre l'odeur.

• 4. deux grandes terrasses soli-pluviales - Le recreusement du ru conflent des deux sources de la fontaine sud du Mas établit la base de deux grandes terrassess soli-pluviales.  Pour tenir chacune d'elles, nous conservons une bande herbeuse de deux mètres sur la rive des deux ruisseaux en Y.  La vitesse d'élévation du point bas d'une terrasse soli-pluviale - en agrinature - est de un à vingt centimètres par an.  Cette vitesse varie selon :

• la configuration des lieux (1),
• les cultures en cause (2),
• la présence d'arbres anciens ou plantés aux bords de la terrasse (3),
• l'utilisation des couverts ARE & EVA (4),
• les caractéristiques du sol au départ (5).

• 5. Ganesh gita - mare de rétention sur un ruisseau temporaire.

Il y a douze ans ce ruisseau n'était qu'un filet d'eau infime en hiver.  Nous avons d'abord creusé une mare comme bassin de rétention des particules d'érosion éventuelles & de la matière organique en suspension que les eaux de ressuyage d'un sol entraînent.  Le travail archéologique de recherche de la mare, des ruisseaux & des sources anciennes se fit à main nue en gouttant avec les doigts la fraîcheur & l'acidité du sol.  Dans cette recherche, nous partîmes en cinq directions, amorçant cinq bras à la mare.  Ce design dessinait comme les quatre pieds d'un éléphant, sa tête & sa trompe.  Depuis lors nous avons conservé ce dessin en éléphant.  Un ragondin (Myocastor) albinos l'occupa un temps.

La mare peut être curée à compter d'août - automne selon le Tao - ou à la rigueur en février - printemps selon le Tao.  L'automne est favorable car c'est le temps le plus sec & les rus ne coulent pas en général à cette date, ce qui permet de creuser les lits sans provoquer d'érosion.  Quand les pluies recommencent - en novembre ou hiver selon le Tao - le bassin de rétention qu'est la mare recreusée joue son rôle jusqu'à ce que les berges ne se couvrent à nouveau d'herbe.

Au début du siècle 21, cette parcelle d'un demi-hectare possédait en ce lieu transversal aux deux tiers de sa longueur un léger creux transversal ou coulait un filet d'eau.  Le fait de recréer le ruisseau coupa la parcelle en deux parties & généra un peu d'érosion malgré les précautions prises.  Au cours des cinq première années, les deux demi-parcelles augmentèrent leur pente, devenant comme deux versants du ruisseau.  Depuis cinq ans, d'une part l'érosion cessa & d'autre part le processus de construction des deux terrasses soli-pluviales s'accélère franchement.  C'est un processus auto-généré par les pluies & la photosynthèse (production) des plantes.

• Qu'est l'agrinature ? - définir l'agrinature par la terrasse soli-pluviale & le drainage d'irrigation de pédogenèse : tsp & didp.
  

Qu'est l'agrinature sinon dénuder le sol le moins qu'il est possible?  Pourquoi ne pas dénuder le sol?  Le sol nu subit d'une part l'érosion par l'eau (4) & le vent (2) & d'autre part par minéralisation accélérée de l'humus sous l'effet du rayonnement solaire (3).  Le sol couvert d'EVA ou ARE au lieu de s'éroder & se minéraliser, produit & accroît sa propre substance.  EVA sont les couverts qui demeurent en mélange avec les plantes produisant la nourriture.  ARE sont proches des couverts que l'on nomme dérobés à la rotation à la différence que nous les réintégrons dans la rotation en tant que producteurs de matière destinée à devenir sol (1) (5), producteurs aussi d'humus (3) & fixateurs de carbone, d'oxygène & d''azote atmosphériques (2).  Les couverts EVA & ARE permettent de convertir la lumière solaire (3) reçue en amendement organique qui servira ensuite en couvert soit vivant, soit coupé ou encore roulé au rouleau faca.  Dans ces couvert la culture suivante peut être installée.  EVA & ARE sont semés par anticipation avant moisson ou en même temps que la plante de culture ou à la rigueur peu après.

Cultiver les céréales & potagères semble impossible sans dénuder le sol car les plantes cultivées sont par définition plus fragiles que les plantes spontanées d'un lieu.  Il faut dans ce cas que l'instant du sol nu dure le moins qu'il est possible.  Les méthodes de paillage sont des pis-aller car le sol est certes couvert, mais d'une matière morte & de ce fait le couvert est non productif.

Le drainage d'irrigation (1) est une technique simplifiée qui consiste à creuser des rigoles situées en quelques points précis bas ou latéraux d'un terrain en vue d'abaisser le niveau d'eau dans le sol & ainsi stimuler les racines à descendre pour fabriquer ce faisant plus de sol.  La définition la plus simple & effective d'un sol est celle qui le désigne comme l'espace souterrain prospecté de racines.  En creusant les rigoles de didp (1) on établit l'amorce des terrasses soli-pluviales (5) qui se construisent d'elles-mêmes à l'échelle d'une dizaine d'année.

Ainsi, non seulement l'agrinature réduit autant que possible les trois voies d'érosion par les vents (2), le soleil (3) & la pluie (4), mais de plus accélère la pédogenèse d'une manière étonnante.  Didp & tsp sont les outils d'optimisation du climat en un lieu, afin que les plantes utilisent tout à fait toute l'eau & tout le soleil disponibles selon le climat donné.  Leur pratique augmente au fil des ans la capacité des sols à accueillir les précipitations qu'ils reçoivent & de ce fait leur potentiel de production.  Les sols vivants & prospectés de racines en grande profondeur ont un effet amortisseur des excès & carences en précipitations qui joue un rôle éminent à réduire la magnitude des sécheresses & prévenir les inondations.

• Here's to you, Nicola & Bart / rest forever here in our hearts. / The last & final moment is yours. / That agony is your triumph.   Maintenant Nicola & Bart / vous vivez au fond de nos cœurs. / Vous étiez tout seuls dans la mort / mais par elle vous vaincrez.

khadijamine le 21/10/2015 : Robert Anson Heinlein écrivain américain de science-fiction : "La suprême ironie de la vie, c'est que nul n'en sort vivant."

• La vie commence le plus souvent par un cri, mais nous pouvons la quitter sur un sourire.

erixbd le 22/10/2015 : Impressionnant! C'est là qu'on voit qu'au delà d'un métier, le travail de la terre réclame connaissance, respect & passion...

• 6. Border les tsp d'un trait de charrue est la forme la plus simple du didp. /  Border les tsp est la forme la plus simple du didp.

Le bouquet de petits chênes sur la gauche fut laissé pour la pédogenèse en un point de granite affleurant.  Il serait bon de planter en son milieu un pin Laricio de Corse ou de Calabre par exemple, un douglas ou un mélèze d'Europe ou du Japon car ces arbres savent digérer la roche avec bien plus de force & célérité que les chênes même.  A partir de ce point en lien avec d'autres points remarquables, nous avons tracé une ligne d'interruption du travail du tracteur.  Nous avons déposé quelques grosses pierres pour marquer l'endroit.  Sur cette interruption large d'un mètre environ, nous devrons planter des arbres & laisser aussi s'installer des arbres & buissons semés par vents, oiseaux & animaux.

• Chaque année de préférence nous pouvons border la ligne de chaque côté d'un trait de charrue, versant la terre du côté de la parcelle (vers chacune des deux tsp en formation).  C'est là la méthode la plus simple pour constituer les terrasses soli-pluviales.  Le trait de charrue exerce plusieurs effets.  Si la haie existe déjà, la charrue coupe d'une part les racines traçantes latérales des arbres & buissons, les empêchant ainsi de s'étaler en surface dans la parcelle.  Le travail de l'outil d'autre part établit cette limite en butte par le sillon creusé en son bord de chaque côté & renvoie de la terre vers la sous-parcelle néoformée, la future tsp.  Le fait d'établir la limite en butte va obliger les arbres présents sur ce talus nouveau à descendre leurs racines, approfondir leur enracinement.    Par ailleurs, le cordon de terre versé sur le bord de chaque tsp en formation constitue un bourrelet référence au bord de cette terrasse nouvelle.

Stimuler l'approfondissement des racines des arbres les conduira à descendre jusqu'à la roche pour la digérer, en faire du sol.  A l'inverse, le bourrelet de terre versée autour de la terrasse devient pour sa part un point de référence : au cours de l'année, le sol de la sous-parcelle va tendre à s'élever jusqu'à rejoindre ce niveau.  Les moteurs de cette croissance, cette élévation du sol sont un complexe de phénomènes qui mettent en jeu les mouvement de l'eau (dans les quatre directions) dans le sol & dans les racines sous l'action des pressions différentielles & des forces de capillarité d'une part & les activités des habitants du sol - vers, insectes, racines, mycélium, animaux, microflore & microfaune - d'autre part.  Ces vivants souterrains sans cesse structurent, transforment, aèrent & expandent l'espace (1) du sol de la terre (5).

• La vitesse de pédogenèse par digestion de la roche par les racines profondes est dans les conditions de la terrasse soli-pluviale au minimum d'un centimètre par an, mais peut en des cas favorables être dix fois supérieure.
• La vitesse de pédogenèse par accumulation d'humus, de matière organique & expansion du sol par creusement de galeries par les vers & autres fouisseurs d'une part & les racines en croissance & vie éphémère d'autre part, est dans les conditions de la terrasse soli-pluviale au minimum d'un centimètre par an, mais peut en des cas favorables être dix fois supérieure.

Comme tous les processus de croissance, ces deux pédogenèses - par le bas & par le haut - lors de la formation des tsp présentent une courbe en S typique : le mouvement s'amorce lentement, puis s'accélère d'abord avant de ralentir à nouveau lorsqu'on parvient en phase de maturité.  Une terrasse se constitue en un délai d'environ une dizaine d'années.

Border les tsp d'un trait de charrue chaque année est l'acte le plus simple du drainage d'irrigation de pédogenèse - didp.  Cet acte simple & peu couteux permet une croissance spectaculaire du sol des tsp en constitution.

• Un sol est le point de rencontre entre ciel (1) & terre (5).  Il résulte de l'activité biologique
• dont l'unique (ou presque) moteur est la photosynthèse qui réunit le carbone de l'air (2) à l'hydrogène de l'eau (4)
• par utilisation en réduction endothermique d'une l'énergie liante & reliante, la lumière solaire (3).

Sur les continents les quatre cinquièmes du vivant sont dans le sol.  Un sol donc est presque une définition de la vie.

• Un sol sain est constitué de roche-mère (5) mêlée de matière organique (3).
• La matière organique est elle-même constituée d'air (2) & d'eau (4) liés par un apport énergétique (3) solaire.

On peut diviser un sol sain en quatre volumes égaux - le minéral (5), la matière organique (3), l'air (2) & l'eau (4).

• Cela signifie qu'un sol sain est constitué pour moité d'espace (1) ou vides.
• L'eau (yin / 4) du sol est liée en part majeure à la matière organique présente (yang / feu / 3).

• 7. la mémoire du sol, la genèse des sols / tsp & didp / Mémoire du sol, genèse des sols.

Nous voyons ici une ligne d'interruption de la circulation & du travail du tracteur.  Nous l'avons positionnée sur une limite ancienne supposée par la présence d'arbres.  Dans ces terres sur granite, les plus gros chênes pédonculés croissent souvent aux lieux de roche affleurante au sol de profondeur nulle.  Le pivot de l'arbre s'installe dans une rupture du granite & s'y enfonce, éclatant & digérant la roche brute, la fragmentant, la transformant progressivement jusqu'au kaolin.  Les arbres donc sont des indices précieux pour définir & décider où établir les terrasses.

Vouloir recréer le passé n'a pas de sens car d'une part le passé a une infinité de visages depuis la sortie de la Pangée des océans jusqu'à nos jours & d'autre part nous tendons trop à idéaliser le passé par des processus psychologiques puissants.  Le passé évoque notre enfance dont la plupart d'entre nous ont la nostalgie.  Par un processus psychologique indispensable à notre survie, avec le temps survit surtout la mémoire des bons moments tandis qu'à l'inverse le jour présent est par trop noirci par les infos des journalistes dont le job consiste surtout à soulever les problèmes & questions.  Nous visualisons le passé aussi à travers des récits.  Un récit quel qu'il soit est par nature orienté vers le point ou l'idée que son auteur veut faire apparaître ou si ce dernier se voulait objectif, par son point de vue particulier, préjugés du monde.  Le pire cas est celui des fictions de cinéma où des acteurs bien nourris, parfumés, savonnés, maquillés veulent nous faire accroire qu'il représenteraient la vie des gens communs de temps anciens.

• Sur la ligne d'interruption, des fougères seules pour l'heure prospèrent.  Nous y planterons & sèmerons des arbres.  Créer des tsp par didp est le moyen le plus efficace à stimuler & multiplier la pédogenèse, la genèse de sol.

• tsp en cours : Voici une grande terrasse soli-pluviale en cours de formation en suite de la recréation des ruisseaux de la fontaine sud du Mas.

• marssfarm le 05/11/2015 : Lorsque le mental quitte un corps & l'âme est toujours là...