• Ceres, déesse des moissons - the goddess of harvest

La céréale est plante de lumière - de valeur Yang donc qui symbolise l'expansion.

Ses grains comme les grains de lumière, par nature se diffusent dans tous les recoins.

Son grain cuit au soleil, roulé sous la pierre chaude, recuit au four nous confère Yang aussi

par voie d'un centrement à l'opposé en diamètre de l'égotique égocentrisme...

Cérès Damater se trouve dans la ceinture d'astéroïdes

orbitant entre Ares & Zeus pater - nommées à Rome, Mars & Jupiter -

proche donc du lieu de naissance de "Little Prince".

Elle régit les natifs de Virgo, du temps proche des moissons

qui excellent en la technique, la méthode, le service, la transmission.

Son symbole en forme de faucille inspira Fukuoka

à n'utiliser plus que cet outil à ses travaux au jardin & au champ.

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• Δαμάτηρ Dāmātēr , the goddess of the harvest presided over grains and the fertility of the earth. Her cult titles include Sito σίτος : wheat as the giver of food or corn/grain^[1] and θεσμός, thesmos: divine order, unwritten law as a mark of the civilized existence of agricultural society.^[2] Though Demeter is often described simply as the goddess of the harvest, she presided also over the sanctity of marriage, the sacred law, and the cycle of life and death.  She and her daughter Persephone were the central figures of the Eleusinian Mysteries that predated the Olympian pantheon.  Demeter, Persephone and Poseidon.^[3]circa 1400-1200 BC. Her Roman equivalent is Ceres.

Ζεύς / Zeús le roi des dieux dans la mythologie grecque règne sur le Ciel et a pour symboles l'aigle et le trait de foudre¹. Fils de Cronos et de Rhéa, marié à sa sœur Héra.

• Ἄρης árɛːs Άρης ˈaris the Greek god of war , one of the Twelve Olympians, son of Zeus and Hera^[1] - often represents the physical or violent aspect of war, in contrast to the armored Athena, whose functions as a goddess of intelligence include military strategy and generalship.^[2]  When Ares does appear in myths, he typically faces humiliation.^[9] - well known as the lover of Aphrodite, the goddess of love who was married to Hephaestus, god of craftsmanship.  The counterpart of Ares among the Roman gods is Mars, who as a father of the Roman people held a more important and dignified place in ancient Roman religion for his agricultural and tutelary functions.

Κρόνος / Krónos & Ῥέα / Rhéa ou Ῥεία / Rheía, fils &  fille d'Ouranos le Ciel & Gaïa la Terre, parents des dieux Hestia, Déméter, Héra, Hadès, Poséidon, Zeus &  Chiron.

• Kronos, roi des Titans & père des dieux a été assimilé à Saturne.  Il est souvent confondu avec son homophone Χρόνος / Khrónos, divinité primordiale du temps.

Rhéa, sœur & femme du Titan Cronos, mère - appelée Pandore - dans la mythologie romaine, assimilée à Cybèle, l'aïeule des dieux, la Grande Déesse phrygienne , Magna Mater ou la Mère des dieux - souvent escortée de lions - également assimilée à Ops, déesse sabine de la fertilité liée à la Terre.

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• keriadenn le 15/09/2013 : Sans "l'espace sans existence", qu'est l'énergie ?
Cette remarque en question peut-être parce que je n'arrive pas accepter une primauté de l'énergie !

marssfarm le 16/09/2013 : La théorie du Big Bang postule que l'univers eut un début, où la totalité de sa matière se trouvait concentrée en un seul point d'un espace lors encore inexistant puisqu'il n'était habité de rien.
Dans notre pensée ordinaire, nous demanderions "Qu'y avait-il avant cet instant zéro ? L'espace des points dans lequel l'univers va exploser n'existe-t-il pas déjà ? Ne pourrait-il pas être un constituant d'autres univers autour du notre ?"
Tant de matière concentrée en un seul point ne peut y demeurer & l'univers se crée. C'est pourquoi je la nommai énergie pure. La théorie en astrophysique à ce jour suppose que notre univers serait pour l'essentiel constitué d'énergie sombre & de matière sombre & que la matière visible n'y existerait que comme une écume.
La mythologie de l'Inde parla il y a des millénaires déjà d'un Big Crunch avant le big bang & même d'une infinité de ces disparitions & recréation de l'univers.
Je crois qu'au départ, à l'instant zéro que personne ne connaît vraiment, rien n'est encore, ni matière, ni énergie, ni espace, ni temps.
Si nous disons que tout est matière, ce serait considérer que les photons & les quanta sont vraiment des particules & rien d'autre. Il revient au même lorsque nous disons que ces particules sont en fait des ondes & que tout dans l'univers ne serait qu'énergie : la formule E = m . C² est vraiment une égalité qui peut être prise dans les deux directions.
L'élément feu des anciens n'est pas exactement égal à notre notion d'énergie. Il est relié au sens du toucher, puisque c'est la peau qui perçoit le niveau d'énergie en chaud ou froid. Si je touche du métal, la sensation est de froid car, bon conducteur du fait de la grande mobilité des électrons dans le cristal métal, la chaleur que mon corps produit s'échappe en ce cristal. Si je touche un corps vivant, je peux percevoir aussi des niveaux d'énergie plus subtils que la seule température. Tout sur terre vint du soleil, énergie & matière. Chaque matière touchée me parle à l'instant de ce contact de son trajet depuis l'hydrogène du soleil jusqu'à ce qu'elle est devenue juste avant cet instant.
En fin de cette réflexion dont chaque terme, où chaque mot utilisé peut ouvrir la question vers le piège d'un double sens, je vois que ce que je dis de l'univers révèle en fait ce que pense être. Einstein démontre par une formule de mathématique que l'acte d'observer impacte nécessairement l'objet observé. Nous pouvons facilement en déduire qu'en l'absence de cet acte, il est tout à fait impossible de dire quoi que ce soit de ce qui est vraiment. Toutes les théories d'Einstein confirment les darshans ou cosmologies que les sages anciens délivrèrent. Ces philosophies qui décrivent la totalité du monde, diffèrent quelque peu entre elles mais agréent cependant sur un point : l'être & l'univers ne sont en faits qu'une seule & même entité.
Ai-je répondu à la question ou bien ne l'ai-je pas comprise du tout ?

• keriadenn le 17/09/2013 : Je n'ai pas lu avec attention qu'elle mérite ce que tu as écrit hier, ce sera plus tard. Merci de donner réponse si étendue. Je n'ai pas encore lu non plus ton chapitre 16. Enfin, je ne me sens pas capable de réfléchir avec autant de mots en plus pour l'instant. Je continue donc à partir du texte qui m'a fait réagir. Et tente l'explicitation (terrible !)

C'est la conclusion des quelques phrases lues ci-dessus et que je copie qui m'ont fait ruminer, et poser question.
Je commente volontairement à la suite du même billet, et non celui en date du 16 septembre.

"La théorie du Big Bang "quanta" elle tend à confirmer que si l'univers eut un début, il aurait démarré effectivement par de l'énergie pure concentrée en un seul point d'un espace sans existence.

Puisque le feu donc est de tout l'origine, ainsi le Ciel sera toujours plus haut que la terre, le Yang plus noble que le Yin.
Cet état est inexorable, même s'il semble s'opposer à l'idéal du non-faire qui autant que faire se peut vante la force Yin."

Mon tour du pot :
Pour se déployer, l'énergie pourrait-elle se passer du vide ?
Elle a beau être créatrice de tout, ne lui serait-il pas nécessaire un champ, aussi indéfini puisse-t-il être, absolu ?, ou selon une autre vision, une altérité ?, ou encore, selon une autre conception, un négatif, son négatif ?

Ou encore : Aussi spontanée pourrait-elle être, ex-nihilo serait-elle, l'énergie, tel un flux (?) se développe ou développe un univers ou un multivers, ce faisant elle crée espace et temps, et beaucoup d'autres réalités, tangibles ou non, noires, absorbantes, elle-mêmes négatives...
Je ne peux imaginer ce développement énergétique sans l'inexistant, le vide, le "nihilo" finalement, de l'ex-, le néant.

De l'importance alors, que dis-je de la nécessité de cet "espace sans existence" que tu cites, ou d'un "espace-temps sans existence". Cet étant ou un non-étant est difficile à nommer pour le moins mais il serait inévitable et primordial, qu'il soit antérieur ou simultané au Big bang, et sans doute compagnon depuis, sous des formes toujours aussi peu accessibles à notre entendement.

Ceci, si j'ai réussi à expliciter mon cheminement, peut remettre en cause le choix d'un Yang plus noble que le Yin que tu écris et qui me dérange (c'est catégorique, avec en plus le terme de "noble" qui tend à toujours me faire sursauter). Et restituer l'essentiel du non-faire, sa vérité et sa valeur infinie.
Et c'est aussi ce que je goûte.

Là-dessus, je constate les limites de mes capacités d'imagination. Ma vision est très marquée du sceau de la matérialité, aussi éthérée soit-elle à l'occasion, très marquée du sceau de la dialectique aussi.
Je crois que c'est Descartes qui énonçait que nous ne pensons que dans les limites des capacités de notre imagination, ou de nos représentations (elles-mêmes tellement conditionnées par nos perceptions, - aurions-nous compris leurs propres limites ou partialités à elles aussi, aurions-nous plus souvent encore réduit, méprisé leur force de captation, à ces perceptions -).

Salutations toujours aussi enthousiastes ! Florence

marssfarm le 17/09/2013 : Merci Florence de cette réponse. Cette réflexion sur le vide parait d'évidence, ce vide que citent les traditions que Bouddha insuffla, un vide qui est avant même que l'espace ne soit, puisque l'espace ou éther est déjà un élément, même si contenant & contenu de tous les objets.
Si l'univers est yin & yang mêlés - de la même manière que la photosynthèse est un processus qui mêle eau & feu - l'un ne saurait à l'évidence être supérieur à l'autre : je dois donc réviser & modifier l'article 18.4.1
Fukuoka montra sur le riz que ce nous nommons maladies sont en fait des phénomènes de régulation & qu'il est de ce fait vanité, futilité, superflu, illusion de vouloir les éradiquer. En considérant que la santé serait un état supérieur à une absence de santé, je suis tombé dans ce travers. Ce que nous appelons santé ne peut être qu'un processus dynamique d'équilibre, un compromis en quelque sorte.