• Le blé de haute Pyrénée que nous introduisîmes en terroir de Limousin, jugeant que son pays d'origine pouvait s'apparenter à icelui.
  

la domestication des humains

• La vie inventa les virus & bactéries dans les océans il y a quatre milliards d'années.  Dès que l'énergie chimique disponible au départ dans l'océan primordial chaud & riche de substances organiques commençait de décroître, les bactéries inventèrent la photosynthèse en voie de substitution.  C'est cette invention qui contribua à façonner la terre belle telle que nous la connaissons ce jour, ses continents riches en calcium & son atmosphère oxygène.

Sapoork est en son premier an de la pratique d'agrinature & les photos nous montrent quelques bandes qui furent dénudées un court temps, le seul travail du sol étant celui d'une fouilleuse - Actisol - utilisée à très faible profondeur - quelques pouces, si j'en crois.  Résultat remarquable que je suis le seul à voir !  Les haies & terrasses sont en train de se reconstruire déjà.  Un Actisol n'est pas indispensable puisque le travail est effectuée à très faible profondeur : un cultivateur ordinaire équipé d'outils à pattes d'oie suffira.

une machette, une boussole & un pas suffisent

• Saint-Priest-la-Prugne est un village en le département de la Loire, à l'altitude de sept-cent-cinquante mètres.  Le blé Saint-Priest-le-Vernois rouge serait une forme du rouge de Bordeaux qui se serait adapté à son climat rude de terres pauvres.  Le caractère extraordinaire de ce blé confirme ainsi que Louis Pasteur le suggérait, que le terrain serait un facteur déterminant de santé & constitution.

• le barbu du Mâconnais est très productif

• EVA semé dans la pépinière à Sardent contribua à aider au développement des blés,

• empêcha bien des adventices de s'installer
• & offrira après la moisson une parcelle en l'état idéal pour semer & planter des plantes potagères selon la pratique Agrinature.
• La parcelle fournit un bel exemple de ce qu'est la prairie céréale :
• elle produit une belle moisson de blé tout en portant une végétation riche d'un grand nombre d'espèces.
• Elle peut ainsi maintenir ou accroître sa fertilité tout en produisant sans excès.
• La variété des espèces présentes assure la force sanitaire de la population complexe que ce lieu porte.
• Notez que la prairie céréale ne peut être obtenue que par des semences de population, des variété sélectionnées au champ par le paysan lui-même.

• Ajna translates as 'command' and is considered as the eye of intuition and intellect.^[4]  When something is seen in the mind's eye or in a dream, it is being 'seen' by Ajna.  It has two petals, said to represent the psychic channels.  One of them is dedicated to the sun, the other to the moon.  Ajna is associated with the pineal gland, which regulates the circadian rhythm and is actually related to a light sensitive 'third eye' , the Parietal eye found in some lizards, amphibians, and fish.  Directly above Ajna is a minor chakra known as Manas or mind.  It possesses six petals, one for each of the five senses and one for sleep. These petals are normally white, assume the color of the senses when activated by them, and are black during sleep.  Manas deals with & sends sense perceptions to the body. - edited from Wikipedia.

• Ici la prairie-céréale est de forte densité.  Le précédent prairie de chiendent était d'assez d'âge pour nourrir le grain Secale.

• de la nécessité de sélectionner en sagesse - cent vingt quatre parents de nos blés à Roches, Tirelangue, Péchadoire, la Terranche, le Mas, la Cheminade. / Au premier plan le blé roux de l'Ardenne, une population sélectionnée aux temps passés. / En arrière plan, une population en laquelle le travail de sélection fut repris.

au premier plan deux épis de triticale ... à droite & à gauche deux épis inconnus ainsi que sur des photo du Chapitre 15 - est-ce une orge ?

où la tempête est de rigueur - a crop in a storm

• Le blé de Millevaches est très alternatif, pouvant être semé de printemps ou d'automne - en septembre ou en février.  Ses grains & épis sont menus & sans barbe, offrant une population de deux couleurs.  Le blanc évoque les kaolins de leur sol & le rouge exprime la sensibilité débonnaire & révoltée des montagneux du plateau.  Il ne craint pas le froid, non plus que les sols jeunes, rajeunis par lessivages & érosion.  De sa paille fort, il ne saurait verser même sous la tempête de rigueur ici.

• d'octobre à août - a ten months growth season

Les parents du mélange Guichard-Mars vinrent du Lot & Garonne, du Maine & Loire, de haute Loire, d'Ardèche, du Puy de Dôme, de Savoie, d'Isère, de haute Vienne & de l'Indre.  Ses épis & pailles ont toutes les couleurs, formes, hauteurs & conformations.  Ici en photo à plus de cinq cents mètres d'altitude au centre de la Creuse peu avant la moisson qui fut en retard d'un mois cette année.  Depuis cinq ans nous ressemons ces blés que onze paysans nous prêtèrent, nous confièrent, nous donnèrent & je remarque que la moisson se retarde de l'ordre d'une semaine chaque année.  Notre tendance ira à semer tôt, si bien qu'il est probable que nous reviendrons sous peu à une saison de culture de dix mois.  L'interculture de quatorze mois sera consacrée à ARE & EVA.

• *  ARE : adventices de rotation engrais-vert. * EVA : engrais-vert Agrinature

• à bon chat bon rat - where did you come from ? - cliché Bruno
• Ici une belle réussite du mélange de Roches dont les parents sont une sélection des blés de Philippe Guichard, la population dynamique de Florent Mercier, & les variétés Hermes, Ritter & Karneol de Berthold Heiden.

• de Bretagne en montagne - a very high Britany
• Le mélange de James nous vint de Bretagne, via le département de l'Ardèche, au lieu-dit la Peyramont à douze cents mètres d'altitude, aux sols sur granite, habité par Antoine paysan boulanger & sa famille.  Gratitude à eux, protecteurs des semences.

• un blé de frugalité, élégance & force sure
  
• Le nom de ce blé est bardot du Forez.  Il nous vint de l'association Gebnout, commune de la Chaise-Dieu, à l'altitude de onze cents mètre, au substatum de granite, soit ce que tous les agronomes en vogue ce jour clament des conditions impossibles au blé.  Il résiste à tout, ne saurait verser, produit avec modestie, se panifie bien, se courbe vers le sol afin que ses barbes écoutent le granite dont l'épi porte la couleur terne du ternaire de sa qualité liée à la frugalité, l'élégance & la force sure.

• la prairie céréale à Sardent en 2014 - Le blé fut semé en lignes.  Le sous-étage est un couvert spontané de camomille.

• le grain tombé dans les herbes folles :  le potentiel de la prairie céréale - a seed amongst the weeds -
• Le grain de seigle tombé dans les herbes folles illustre le potentiel de la prairie céréale.  Remarquez qu'il peut en ce lieu manifester sa capacité au tallage.  Ce type de culture montre le possible d'installer les céréales ou autres potagères ou légumes, sur les talus, sous des arbres, partout en fin de compte...

• Semez les vesces d'août à octobre.

EVA, l'engrais-vert Agrinature est un mélange de fabacées ou autres plantes compagnes ou intercalaires des cultures.  La prairie céréale est une population de céréales avec une fabacée en sous-étage. Semez les vesces d'août à octobre.  Elles germent sitôt pour attendre printemps & végèteront lors surtout de mars à juin.  Elles fleurissent & fructifient avant le temps des moissons.  Comme les haricots à rame elles sont de courtes lianes.  Si la céréale semée est de haute paille - soit de semence paysanne - & sa moisson tardive - soit de semences paysannes - très peu des graines des vesces & aucune de leur verdure ne seront emportées en la trémie des moissonneuses.  La graine est nourrissante.  On la dit amère, ce qui signifie que les Français n'ont pas coutume de la manger.  Elle n'est pas si amère qu'ils le disent.  Si le pain est de grain germé, l'amertume s'en ira avec l'eau de rincée.  Les lipides qu'elle contient risquent de graisser la meule de pierre & ce sera à surveiller.  A moins de un pour cent, elle ne devrait pas gêner à faire le pain.  Il est en cas de besoin possible de la trier par trieur alvéolaire car sa graine est plus ronde que celle du grain.  De fructification précoce, les vesces sèchent au champ en juillet ou en en août & si nous moissonnons haut sans couper les pailles, les graines sauront tomber à terre.  Par façons culturales de surface, nous ne les empêcherons pas de germer & se maintenir.  C'est ainsi qu'elles pourront y devenir pérennes.  De ce fait, elles sont la base EVA de la prairie céréale.

la prairie céréale de vesce & avoine nue semées en direct dans une moutarde vive de hauteur géante

 

Nous voyons ici au printemps une avoine nue en mélange de vesce velue & un peu de féverole.
La parcelle fut ouverte en juillet pour être semée en un mélange de trèfle incarnat - 3 Kg/ha - & moutarde blanche - 5 Kg/ha. La moutarde s'éleva à presque deux mètres.
A la mi septembre le mélange d'avoine - 100 Kg/ha - vesce - 10 Kg/ha - & féverole - 10 Kg/ha - fut semé en direct dans la moutarde vive avant un simple roulage pour couvrir les semences.  Les tiges de moutarde furent brisées par le rouleau & de ce fait les plantes moururent sans délai. Plus tard en octobre les chaumes gelèrent.
Les trèfles pour leur part ne réussirent pas à passer l'hiver car le sol de la parcelle est assez frais par nature du fait du ruisseau tout proche & d'une forte teneur en argile de conséquence.  Le trèfle du Roussillon apprécie les sols légers & secs. Sur une telle parcelle, il faut au moins trois ou quatre semaines sans pluie avant qu'un tracteur puisse entrer sans risque d'en déstructurer le sol.  Cela se produit en général une fois par saison sauf en hiver.

 

• Nous voyons ici la prairie céréale en la parcelle 9 en 2013 : seigle, blés, vesces commune, des haies, cracca, lentille fourragère - Secale cereale, Triticum aestivum, Vicia sativa, V. epium, V. cracca, Lens nigricans - Vicia is a genus in the legume family of about 140 species of flowering plants commonly known as vetches.  Member species are native to Europe, North America, South America, Asia and Africa.  Vicia sativa, known as the Common Vetch, Tare or simply the vetch, is a nitrogen fixing leguminous plant.  Vicia est un genre de plantes herbacées de la famille des Fabaceae ou Légumineuses cultivées comme plantes fourragères ou comme légumes, les fèves, les vesces & la féverole.  Ce sont des plantes herbacées à feuilles pennées portant de nombreuses folioles & souvent terminées par une vrille qui leur permet de grimper en s'accrochant aux plantes voisines.  Les tiges ne sont pas ailées, ce qui permet généralement de les différencier des gesses - genre Lathyrus.  Fleurs papilionacées solitaires ou en racèmes.  Les fruits sont des gousses ou légumes.  Vesce commune - Vicia sativa - Vesce des haies ou sauvage - Vicias epium - Vesce hérissée - Vicia hirsuta -  Vesce jaune - Vicia lutea - Vesce de Narbonne - Vicia narbonensis L. 1753 - Vicia americana.  La vesce cracca - Vicia cracca - est une plante herbacée vivace.  La lentille fourragère ou noirâtre assure une bonne couverture des sols.  C'est une espèce couvrante facile à mélanger avec d'autres.  Lens nigricans contribue à équilibrer le bilan azoté sur une rotation & à la biodiversité dans les assolements céréaliers.

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• 7.7 capturer du soleil 30% des rayons
  
• vingt-neuf pour cent - l'aléa que le temps est

Quelle est l'efficacité d'une personne au travail?  Il semble qu'elle ne soit réelle qu'une mineure part du temps de son activité.  Le reste du temps, nous nous reposons, nous réfléchissons, nous communiquons, nous nous préparons.  Il en est de même des plantes.  La photosynthèse mesurée dans les phytotrons des chercheurs en physiologie des plantes est de l'ordre de trente pour cent.  Cela signifie que la plante réussit à capter presque un tiers de cette source si diffuse, volatile d'énergie qu'est la lumière d'une étoile.  L'exploit est remarquable puisque les plantes nous offrent en cela une manière trois fois plus potentielle de capter l'énergie que convoyait la lumière que ce que ne réalisent les panneaux photovoltaïques.  Dans les chloroplastes qu'abritent les cellule des feuilles, la chlorophylle transforme véritablement la vibration électromagnétique & le flux de photons tout à la fois qu'est la lumière, en électricité, mouvement d'électrons au sein de la matière vivante.  Le rendement est le ratio de l'augmentation d'énergie que constitue l'élaboration des tissus de croissance de la plante, au rapport de l'énergie totale reçue par elle.  Nous devrions nous étonner de constater une telle efficience de la part des êtres simples que nous paraissaient les plantes, nos compagnes de vie au silence si brûlant!  Qui s'en étonne pourtant?  Peu en vérité tant, nos sens sont oblitérés & le mental habitué à voir le spectacle pourtant si extraordinaire de la vie...  Or, une seconde raison d'étonnement nous frappe lorsque nous mesurons le même rendement de la photosynthèse au champ, car nous y trouvons dans le meilleur des cas un pour cent d'efficacité.  "Où donc se perdirent les vingt-neuf pour cent manquants?" se demande en elle-même la personne de bon sens.  Les conditions dans la nature ne sont que rarement optimales en ce qui concerne une donnée de la vie, puisqu'elles obéissent par définition même à l'équilibre de tous les vecteurs en présence.  Là réside la force d'un être vivant: en sa plasticité à absorber les chocs d'imprévisibilité que la vie procure à tout coup.  Les facteurs qui limiteront la photosynthèse en un jour donné pourront être le froid, la sécheresse, le manque de lumière, ou le vent.  L'occasion de conditions idéales pour le déroulement total du cycle de fabrication de matière végétale est en fin de compte assez rare tout au long d'une année: il faut pour qu'elle advienne, un temps chaud & humide tout à la fois, que le sol soit tout à fait alimenté en eau, lors que la température de l'air serait de l'ordre de vingt-cinq degrés Celsius au moins, voire trente dans l'idéal.  En de telles journées seulement, le processus de photosynthèse démontre lors sa haute capacité.  Les journées de ce type en climat tempéré surviennent peut-être dix fois l'an, & nul ne sait vraiment quand elles peuvent se produire.  L'aléa en la matière est la règle.  Tous les aspects de la circonstance remarquable pourraient se réaliser en quelque jour d'automne, par un temps doux de printemps ou même lors d'une journée chaude d'été en suite de pluies d'abondance.  Nous verrons à l'article suivant ce que peut extraire un blé en sa sagesse de l'aléa que le temps est.

• pourquoi les pailles des céréales sont hautes

Lorsque nous commençons de mêler & croiser des blés divers, une augmentation de la hauteur générale du champ s'observe au début.  Les paysans qui versent en faveur de sélectionner eux-mêmes leurs blés aiment en général pouvoir en observer les épis en levant la tête!  Avoir de hautes pailles présente plusieurs avantages pour une céréale.  D'une part, la surface du feuillage, capteur de la lumière solaire, est proportionnelle à l'expansion entre les noeuds de la paille.  De plus, il est urgent à la plante qui sort du sol de propulser autant que faire se peut  ce qui sera bientôt ses graines en maturation loin, très loin du sol souillé où les microbes manigancent.  Montant, la céréale pourra s'abstraire aussi des adventices rampantes  - du type 5 - qui sont le seul type pouvant exercer une réelle concurrence envers nos cultures - type 5 - voir à ce sujet le classement des cinq types d'adventices au chapitre 5.  La paille enfin, si elle représente une production que le marchand de grain n'achètera point & une dépense en énergie à être produite, sera aussi le mulch qui couvrira le sol après moisson & la nourriture principale des êtres vivants qui y vivent tout au cours des sept années, cycle total de l'humification, qui suivront.  Ceux qui vendent leurs pailles en savent le prix & c'est bien pour cette raison qu'il est un bon calcul agronomique de ne point les vendre, mais de plutôt les restituer sans attendre au sol de fatigue.  Les pailles servaient autrefois à confectionner divers objets.  Elles demeurent une ressource du paysan dont il devrait disposer & n'exporter de son champ qu'après mure pondération & toujours en proportion mineure.  Elles sont un engrais, un amendement, un matériau, un aliment & fort utiles aux éleveurs en tous usages.

• le paysan plante, le paysan pieds

Depuis quelques siècles, la pensée raciale fut formalisée en une expression qui se voulait rationnelle.  C'est dans le même temps que les races de chiens furent définies par une sévère sélection qui obéissait à cette croyance.  L'idée en naquit que nous humains avions créé ces races & que nos ancêtres avaient il y a longtemps domestiqué l'espèce chien.  Un chercheur montra récemment que des renards domestiqués - & sélectionnés en conséquence - durant plusieurs générations se transformaient, tendant à ressembler au chien domestique par divers traits de morphologie & de comportement.  Il émet l'hypothèse que les ancêtres des chiens se seraient approchés il y a longtemps des campements des humains & qu'une part parmi eux auraient graduellement modifié leurs habitudes pour amadouer notre espèce.  L'idée nouvelle germa que les chiens nous auraient domestiqués tout autant que le phénomène inverse éclairé par l'idée précédente.  Les plus doux, dociles d'entre les loups & chacals auraient trouvé pitance en les reliefs des repas des humains & ceux-ci en retour découvert sans tarder qu'ils pourraient utiliser l'instinct de propriété, le sens de la chasse, le goût de la meute qui accompagne & seconde le caractère casanier de ce type de chiens.  Notez bien que ce qui est résumé ici en une phrase se serait déroulé au cours d'époques étalées dans un temps qui permit l'évolution & l'adaptation progressive des êtres aux conditions changeantes de leurs modes de vie.  L'idée semble juste.  Si c'était le cas, nous pourrions l'appliquer aux plantes aussi & aux autres espèces que notre genre domestiqua.  J'ai supposé en un article que la surabondance des fabacées sur terre était le reflet du fait que leurs espèces souvent sont favorisées par les activités & la présence des humains.  Il s'agit en fait de coévolution convergence des espèces, animaux, végétaux & humains.

• Avena sapiens - to be or not: to be, that is the question

Dans les méteils complexes, l'avoine aide à l'installation des autres céréales par les sécrétions de ses racines qui savent combattre celles des adventices.  L'avoine nue présente un intérêt pour la nourriture humaine tandis que les autres avoines seront destinées plutôt aux animaux.  Une petite part d'avoine dans le pain le rendra fort délicieux, car nous savons que cela en améliore la valeur du point de vue de la nutrition.  Nombre d'amateurs de céréales population refusent d'utiliser les triticales, hybrides entre un blé & un seigle & utilisés surtout à la nourriture des animaux.  Nous pouvons aussi les considérer comme la dernière espèce crée par les humains, puisqu'il s'avère qu'il fut le cas de toutes les céréales au cours, des temps de la sélection agricole qui débuta il y a environ vingt mille ans: presque toutes les céréales domestiques furent par le passé obtenues par croisement de deux espèces distinctes.  En Sibérie, selon les données climatiques d'une année donnée, il arrive que les blés & les seigles fleurissent ensemble.  En ce années particulières, des grains dee triticales spontanés naissent.  Bellac est un triticale fort beau & remarquablement adapté aux sols de la ferme de mars.  Il n'est pourtant plus produit par les semenciers qui ne poursuivent que rarement les lignées qu'il ont créées, afin de renouveler les royalties que la supposée création de nouvelles variétés leur procure & parce que souvent les lignées créées sont trop pauvres en diversité génétique & de ce fait s'épuisent.  Les poules acceptent de manger le grain du triticale qu'elles confondent avec du blé, tandis qu'elles refusent les seigles qui leur piquent la glotte.  Les avoines anciennes étaient aussi grandes que les blés, c'est-à-dire aussi grandes que nous.  Je ne crois pas qu'il soit hasard que nos céréales, pour peu que nous les laissions faire, être, que nous les laissions nous donner la grandeur & bonté qu'elles contiennent en essence, atteignent la même hauteur que les plus grands humains en taille, du fait que nos espèces - celles des humains & celles des céréales - évoluent & vivent de concert & ce faisant voyagent de conserve sur la route du monde vivant.  Comme le chante si bien Jean-François Berthellot, "Est-ce le blé qui nous crée ou nous qui croyons sélectionner les blés?"  Cette histoire de la poule & l’œuf fut la première que les humains se posèrent.  L’œuf fit la poule & la poule fit les œufs.  A partir de cette question d'origine fut inventé le mot "fit-les-œufs" qui plus tard se transforma en "philosophe", déguisant ce faisant le mot d'une graphie plus esthétique aux allures plus sérieuses.  Nombre de philosophes se prennent au sérieux, montrant ainsi qu'ils n'en sont qu'aux débuts du premier pas de leur pratique.  Le premier pas de retour à reprendre conscience que la vie ne saurait être qu'un flux, est aussi le dernier: nous reprenons le courant que l'enfance nous donna & que parfois en un âge dit adulte nous perdîmes.  Ce premier pas engagé, le flux nous semblera bien étrange, car il n'y aura alors plus rien à faire.

• Voici les blés de JFB semés sur la ferme de Sapoork à 550 mètres d'altitude.  Nous semons un blé de terres fortes & climat chaud sur un sol léger & en altitude.  Pourtant, il rend, il brille & nous réchauffe déjà par la vue avant que de le faire par goût.   Les humains doivent coopérer s'ils envisagent de s'élever mutuellement.  Les arbres s'unissant aux herbivores & aux champignons, élaborent les sols que nous pourrons fouler.  Dans les champs par ce jeu amendés, des céréales viendront fournir en stock les calories & protéines dont le corps se fait.

Le froment fruit (frumen) de lumière, le blé (bla) qui blanchit les terres emblavées l'août venu à fournir le moulin pierre (mla) en fine fleur (flour) & le fournil en pain (panem) de circonstance.

• Le mélange de Tirelangue provient que quelques épis sélectionnés par les chiendents au lieu-dit Tirelangue à partir des blés de Philippe Guichard.

Le nom du lieu évoque la longue route ardue qui y conduit.  Son exposition sud en cirque lui assure un climat doux & les vents l'assèchent dès que juillet survient.  La moisson y advient de ce fait plus tôt qu'à la ferme de mars sise un kilomètre plus au nord & à l'égale altitude de quatre cent soixante mètres.

Je lui ajoutai les grains laissés des six variétés de blés tendres & poulards venus de la Chaise Dieu à onze cent mètres d'altitude en pays Livradois que nous avaient expédiés l'association Gebnout.

Semés en un jardin, les moineaux, mésanges, rouge-gorges & autres passereaux en avaient dévoré une grande part, ce qui se produit souvent lorsque les blés sont cultivés sur une surface inférieure à neuf cents mètres carrés.  Dès que la surface du champ est plus grande, au delà de ce seuil critique, les oiseaux semblent ne plus oser s'y aventurer, signe de leur grande charité.

•  26.5.5 - une surface inférieure à neuf cents mètres carrés.
  

• la population dynamique de Florent Mercier en la pépinière de Sardent, le soir
• 26.5.4 - milpain mottin milvatz manitoba Asita Hermes montois Forez rousselin Blespas Talisman Vernoux Sabando Mâcon Lozère Riema Oulianovska Redon Fuchsweizen Rolipa Clairveaux golden-drop Ritter Shireff.

• Le mélange de onze variétés de la population dynamique de Florent Mercier

produit beaucoup sur tous les types de sols & en tous les climats.

La farine qu'on en obtient est de très haute qualité boulangère

en usage de façon artisanale à panification lente.

Je ne sais si toutes les variétés présentes à l'origine survécurent aux frimas

sur sol de battance propres aux terres de la montagne usée de Limousin.

• 26.5.3 - une population de blés à semer en pays Limousin - cliché Bruno.

• La photo montre la couverture de fabacées sous les populations de blés paysans.

Ces blés achèvent leur deuxième an de multiplication.  Semés en les conditions d'extrême frugalité du sol & de rudesse du climat, les blés importés de régions qui leur sont plus favorables, tendent à ouvrir leurs fleurs pour rechercher une hybridation naturelle.  Le fait de semer les diverses variétés en lignes proches les unes des autres aident aux échanges de pollen aussi.

Partant, les individus obtenus en année deux sont des croisements naturels & le résultat en est éclatant selon l'effet d'heterosis décrit il y a longtemps - la vigueur hybride dont bénéficient beaucoup de champions du sport.

Lorsque nous ressemerons les grains de ce champ, cet effet de premier an s'évanouira pour faire place à une diversité extrême en descendance d'année trois.  Nous devrons lors commencer de sélectionner en cette descendance.

Laisser la seule sélection naturelle opérer nous exposerait à voir cette population d'une trop grande diversité en gènes dégénerer, tendre vers un net régrès.

Nous devrons sélectionner, choisir les plus beaux, les plus forts selon les critères évoqués en un article précédent & ainsi nous diriger vers une ou plusieurs populations nouvelles.  Les blés ne sont plus des espèces naturelles.  En la relation qui lie nos espèces & la responsabilité à laquelle elle nous invite, nous pouvons laisser une part à la nature & devons aussi offrir une part à l'humain.

Nul doute que nous sommes un élément de la nature parmi d'autres : cette distinction entre humain & nature est une illusion en réalité.  Elle indique cependant qu'en notre être humain, nous devrons employer les aptitudes que notre espèce spécialisa au fil des générations.

En l'occurrence, elles sont celles d'observation par les sens, de computation d'un mental silencieux & d'un cœur ouvert, à la manière qu'ont les artistes, les inventeurs, les sages & les humains remarquables.

• 26.5.1 - deux parts à partager en égale mesure - 130820 - to be continued...

• La photo montre le mélange Roches-Tirelangue-Mars dont les pères sont Berthold Heiden, Florent Mercier, Jean-François Berthellot, Philippe Guichard, Nicolas Supiot François Barrouillet, Antoine de Gebnout, Antoine de la Peyramont, Ian Jefferies & les mères Isa, Françoise, Aimee, Rosalind, Michèle, Marie-Jo, Nathalie & Emanuelle.  Grâce à eux !

La sélection naturelle quant à elle continue d'opérer.  Cette pression de sélection exercée par tous les êtres présents en le milieu autres que le blé élimine les individus qui ne peuvent endurer les données que leur offre le mode de culture sans façon aucune qu'est l'agrinature.

Notre expérience est qu'en ces conditions où le sol ne fut que peu préparé,

habité de toutes les adventices que le ciel lui offrit

& peu nourri d'azote,

un pour cent environ des semences introduites survit en an un.

L'an suivant, le taux est dix fois supérieur.  En an trois le taux baisse à nouveau à cause d'une trop grande variabilité génétique.  En quatrième année nous pouvons espérer trente pour cent de réussite des grains semés sans sélection.  En année quatrième, de guerre lasse nous entreprenons, commençons de sélectionner, malgré qu'il nous brise le coeur d'avoir à envisager de choisir un grain plutôt qu'un autre.  Dès cet instant pourtant, suivant une progression linéaire, la perspective de réussite complète de l'acte de semaille

- qui comprend les étapes de germination, tallage, épiaison, remplissage des grains & résistance aux aléas du climat -

adviendra à l'échéance d'une période de quatre à cinq ans.

Préparer un lit de semence garantit un taux de germination élevé, mais l'agrinature ne nous permet pas de le faire.  Les graminéeshautes de prairie & les fabacées apportent plus d'azote au sol qu'elles ne lui en prennent & leur préséance sur la céréale semée est indicatrice que l'azote n'était pas assez présent au moment du semis.  Le mode de la vie qui leur est propre en sa nature de générosité & d'endurance mêlées, tend à en réparer la carence tout en exerçant une concurrence modérée envers le développement de la population que Cérès agrée.

Un sol en bonne santé & d'un taux d'azote de l'ordre de cent unités par hectare permettra d'obtenir une prairie claisemée de céréales qui, si elle produit peu, l'enrichit toutefois.  Les apports de fumiers au sol en Agrinature devront intervenir pour réparer la prise qu'une moisson y opère.  Ensuite, si la date est bien choisie, en un jour favorable à Cérès & défavorable à Caïn, ami des agneaux & autres bovidés cornus de la Cornouailles, la céréale s'établit sa difficulté.

L'idée de Bonfils de semer en Juillet ne peut réussir en Limousin que les ans où sa mousson est suffisamment arrosée, ce qui n'est pas toujours le cas.  La mousson en notre région est synchrone de celle de Bharat & nos Himalayas - la demeure des neiges - sont le massif alpin dcontinué des Pyrénées.  Pour cette raison, je choisirai plutôt le semis dérobé intercalaire d'engrais vert crucifère Brassicaceae aux racines en pivot & aux fleurs de symétrie quatre.

Au cours des trois premières récoltes de cueillette, nous nous efforçons de tout moissonner sans choisir, même les épis les plus infimes - geste qui contrarie les cultures que nos ancêtres nous léguèrent.  Le geste de récolter les petits épis  nous ramène à celui des premiers moissonneurs qui utilisaient de petites faucilles de corne ou de cuir en un temps que nous pouvons situer entre dix & vingt-mille ans avant ce jour - le vingt d'aout de l'an treize.

Récolter les malingres, maladifs & même les malades contrarie plus encore ce que gran-pa nous disait.  Agrinature ne considère les maladies qu'en cas d'absolue nécessité, en des instances de vie ou de mort.  Semer le tout-venant des grains non encore sélectionné devra nous inciter à un sur-semis, semer en sur-densité en vue de compenser ce que nous évaluons de la perte à venir.  Si nous visions un idéal d'un quintal de semence par hectare, nous devrons pour le moins doubler ce chiffe.  A la semaille 2013, j'envisage de dépasser ce double, mais ne peux en parler avant que de l'avoir fait & d'en avoir perçu le résulat - dans un an donc.

A partir de l'année quatre - qui à la ferme de mars commence en cet août 2013 - nous continuons la récolte intégrale qui permet d'offrir plus d'une chance de succès à la descendance des croisements naturels qui naissent en nos populations de mélanges mélangées.

Par ailleurs, nous commencerons d'extraire quelques épis qui nous semblent remarquables en vue de tirer la population des blés vers un idéal de phénotype que je commence d'apercevoir.

Puisque le seigle croit bien en ce lieu, les blés qui l'accompagneront dans le méteil devront nécessairement lui ressembler : de pailles hautes & flexibles, aux épis barbus, courbes & tournés vers le bas.

Puisque ce lieu est une enclave de frontière, le phénotype ci-dessus évoqué devra se décliner en toutes les couleurs, teintes & brillances qu'il est possible de rencontrer.  Ces teintes comptent le noir, le gris, le bleu, l'indigo, le mauve, l'or, le doré, l'orange, le roux, le brun, le blanc, le jaune, le brillant, le mat, la transparence, la réfraction & l'opacité.

J'en exclus la blondeur qui depuis Hitler m'effraie.

Puisque nous introduisons en nos mélanges un très grand nombre d'espèces & variétés de Triticum - des froments, des poulards, des touselles, des bladettes & un triticale, nous retrouverons en cette population le Bellac à l'épi courbe & épais qui naquit du croisement blé, seigle & un blé gris aux grains rangés & fines barbes verticales qui lui ressemble fort, son épi droit & dressé cependant.

Cette œuvre de sélection prendra dix années - sans possibilité d'accélérer.  Nous l'entamâmes en la moisson 2010.

• 26.5.2 -Bellac Rolipa Auvergne Macon Saint-Priest Sabando - Bellac, poulard d'Auvergne, Saint-Priest-le-Vernois rouge, barbu du Mâconnais, rojo de Sabando - see 17.9 & 17.10 too.

octobre 13

Cette année, le temps est pluvieux !  L'été dura un mois à trente degrés & sans eau.

Toutes les maladies cryptogamiques étaient présentes sur les céréales, mais cela n'empêcha pas une moisson d'un niveau moyen.  Nous avions semé bien trop tard en novembre.  Ici, il est bon de semer la seconde quinzaine d'octobre.

Moissonner prit longtemps.  Nous espérons bientôt battre, traiter à la farine de moutarde & semer.  Quelques variétés n'ont pas survécu, surtout par manque d'azote.  Je ne sais pas comment on dit cela : la parcelle n'avait pas été assez nourrie, ni en fumier, ni en compost.  Parmi les croisements, deux produisirent beaucoup, quelques uns, en quantité moyenne, d'autres très peu & quelques uns pas du tout.

Nous réussirons mieux cette année.  L'an passé, nous avions semé plus de cent quatre vingt variétés & mélanges.  Cette année, nous ne sèmerons pas toutes les populations car c'est trop de travail à la moisson & en garderons une partie en stock en petits lots pour l'an prochain.  Des variétés récoltées en bon volume, nous sèmerons une part en pépinière pour conservation & mettrons le reste dans le mélange spontané que la ferme sélectionne déjà depuis quatre saisons, quatre années.  Ainsi nous pourrons le battre à la moissonneuse comme l'an dernier.

La recherche ici se dirige surtout vers un semis direct sans désherbages ultérieurs.  Nous sommes près de trouver la solution & cela nous freine à exceller en les autres aspects du travail.  Pour cette méthode, il faut des céréales plus fortes que les herbes.  Nous les introduisons en pépinière sur sol pauvres pour que la sélection opère.

• 26.6.4 - un labeur sans labour - crops amongst weeds.

blés géants

• 26.6.1   -  des ancêtres des blés à pain en Limousin -
  

130313

• 26.6.2 - des froments seigles spelts engrains amidonniers poulards - un peu de la diversité des froments, seigles, triticales, spelts, engrains, amidonniers, poulards, blés durs de population ...

121119

• 26.6.3 - dans le blé debout - wheat landraces in Limousin.

Depuis que nous multiplions les semences paysannes, la date de la moisson chaque année se décale vers l'août.  Si le processus se poursuit, nous pouvons supposer que dans quelque temps, le blé se moissonnera durant la premièr semaine d'août.  Nous pourrons semer le seigle, suivant dans la rotation, en simultanéité du mélange EVA - engrais-vert Agrinature - en billes d'argile, en plein à la volée dans le blé debout à partir de la fin de juin, soit quarante jours auparavant.  Si le processus se poursuivait encore, nous pourrions semer le dix août pour une moisson le vingt.

Voici une liste de blés que recommandait Marc Bonfils :

Victoria automne = Blé géant de la Tréhonnais = Blé Haigh Wath prolific = Kensigland (GB) (Limousin 1912)

Bordier (Prince Albert X Noé + sélection massale) (Limousin 1929)

Vilmorin 27 (Limousin 1929)

Cérès (127) (Victoria X Prince Albert X Noé) (Limousin 1929)

Blé seigle = Bled seigle = Ralet = Roux grand grillé Anjou (Limousin 1929)

(hybride de) Champlan (Victoria X Chiddam automne)

rouge de Champagne / rouge d'Alsace / Alsace 22 (sélection massale de rouge d'Alsace)

Blé roseau

Prince Albert = Rostoff = Oxford red = Albert's red wheat (Great Britain)

Chiddam automne épi rouge (GB) Dattel (GB) Golden top(GB)

Blé épi carré = Shireff's square headed wheat(Great Britain)

Blé hybride carré géant = triticale naturel russe de 1907 croisement 7X9

Seigle de Schanstedt

Nonette de Lausanne, poulard - Blanc du Gatinais poulard -

d'Australie poulard, d'Auvergne poulard, Osiris poulard

Voici la liste des blés répertoriés en Limousin en 1912 & 1929 établie par Christophe Bonneuil,

historien des sciences au CNRS, l'institut du Moulon & la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité:

Alliès - Bataille 30, blés de pays mélange - Bon fermier (1912)

Cérès 127 - Chanteclair - Chiddam blanc de mars - Dattel (1912)

Flèche d'or - Franc Comtois - Geffroy - Gros bleu

Hâtif inversable - Hybride de Way - Hybride du trésor - Japhet (1912) - jaune précoce

Manitoba - Noé (1912) - Oscar Benoist - Préparateur Étienne - poulards (1912)

rouge de Bordeaux (1912) - rouge d’Écosse (1912) - rouge de l'est - Teverson (1912)

Vilmorin 23 - Vilmorin 29 - Vuiteboeuf

ALLIES lignée ancienne BATAILLE 30 lignée pure moderne BLE DE PAYS & MELANGE DE BLES DE PAYS

BLE SEIGLE variété de pays BON FERMIER lignée ancienne BORDIER lignée ancienne

CERES 127 not available CHANTECLAIR lignée ancienne CHIDDAM BLANC DE MARS variété de pays DATTEL lignée ancienne

FRANC COMTOIS not available FLECHE D OR lignée ancienne GEFFROY variété de pays GROS BLEU variété de pays

HATIF INVERSABLE lignée ancienne HYBRIDE DU TRESOR lignée ancienne HYBRIDE WAY HYBRIDE DE WAY lignée ancienne

JAPHET lignée ancienne JAUNE PRECOCE not available MANITOBA lignée ancienne NOE variété de pays

OSCAR BENOIST lignée ancienne PREPARATEUR ETIENNE lignée ancienne POULARDS

ROUGE DE BORDEAUX variété de pays ROUGE D'ECOSSE lignée ancienne ROUGE DE L'EST - TEVERSON lignée ancienne

VICTORIA D'AUTOMNE - VILMORIN 23 lignée ancienne VILMORIN 27 lignée ancienne VILMORIN 29 lignée ancienne VUITEBOEUF lignée ancienne

La population dynamique de la ferme du pont de l'arche :

Gua, rojo de Sabando, Marat barbu, Redon Sixt sur Aff 15746, Redon Sixt sur Aff 346, Oulianowska, gris de Saint-Laud, de pays du Gâtinais, Alauda, Saint-Priest-le-Vernois rouge, saissette de Provence.

http://www.scribd.com/doc/101345637/M-Bonfils-1986s
http://www.scribd.com/doc/101346095/Permaculture-Marc-Bonfils-lecture-a-l-ec ran
http://www.scribd.com/doc/101346332/Ble-d-hiver-version-pour-impression

cliché R.A. - to be continued...

6.8